Après avoir auto-édité un ouvrage avec ses œuvres, James Dean Trépanier rêve de créer une exposition numérique dans la métropole, où les différents clichés de chaque station pourraient être répartis selon les lignes de métro existantes.
Auteur/autrice : Marie-Ève Martel
Aussi bien le scénariste que le réalisateur du film semblent s’être inspirés – beaucoup trop – des classiques Scream et I Know What You Did Last Summer, dont on reconnaît les intrigues et même les personnages, tous aussi caricaturaux qu’ils sont.
L’histoire toute simple de La Grande Séduction, son humour bon enfant et l’universalité de ceux-ci font en sorte que la magie opère partout où elle se déroule, ou presque.
La série de six épisodes, qui met en vedette Matthew Broderick sous les traits de Richard Sackler et Uzo Aduba dans la peau d’Edie Flowers, relate l’avidité d’une entreprise pharmaceutique qui a préféré fermer les yeux sur des centaines de milliers de décès causés par un de ses médicaments afin d’accumuler les milliards de dollars grâce à la dépendance que celui-ci a provoqué chez des patients.
L’œuvre cinématographique est phénoménale. On en ressort soufflé par le récit, par le jeu des personnages, par l’attention apportée aux détails, bref, par l’ambition du projet.
En fait, le défaut de Barbie, le film, c’est son histoire, somme toute assez simple. La protagoniste traverse une crise existentielle qui la mènera à faire un grand voyage à la recherche d’elle-même, pendant lequel elle rencontrera des alliées. Pendant son absence, ce qu’elle considérait comme son chez soi se transforme drastiquement, et pas pour le mieux. On se croirait dans la royaume des lions sous le règne de Scar pendant l’exile de Simbra, dans Le Roi Lion…
C’est ce qui manque à cette saison : un fil conducteur qui nous permet de renouer avec la série qu’on a tant aimée au cours de la dernière décennie.
Les bons sentiments sont encore au rendez-vous, au point d’arracher une petite larme, aussi bien à la petite sirène qu’à l’auteure de ces lignes.