Dans une méta-analyse publiée en janvier 2024 dans le British Medical Journal, on concluait que l’exercice réduisait autant la dépression que les antidépresseurs.

Pour ceux qui choisissent encore le déni, il y a de toutes façons un incitatif économique à vouloir prévoir les impacts: en date du 12 janvier, la firme météorologique AccuWeather évaluait les dommages en Californie entre 135 et 150 milliards de dollars américains. Et ça n’est pas fini.

Le bon côté de la COVID, c’est qu’elle a provoqué un sursaut d’intérêt pour les vaccins dans les médias traditionnels, « à un niveau jamais vu », faisant augmenter la proportion d’informations fiables. Mais cela révèle aussi l’existence du « vide informationnel » autour des vaccins, en-dehors d’une année pandémique.