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I’m finding it very hard to dislike Steven Spielberg. It seems that enjoying his repertoire is the equivalent to liking ice cream and laughing. It’s rare to find someone who doesn’t like either. His newest movie to come out is Ready Player One, based on Ernest Kline’s novel of the same name. It could have been a glorified computer graphic nightmare, full of nostalgia lacking any kind of substance. But in the hands of the man who made some of the most memorable and stunning movies, it turned out to be a heartfelt love letter for gamers and geeks alike. Insert credit for Ready Player One.

Qui n’a jamais rêvé de combiner jeu vidéo et jeux de société? Non pas sous la forme de Tabletop Simulator, qui transpose littéralement les jeux de plateau sur un écran, mais plutôt de combiner la beauté et les mécaniques d’un jeu comportant des figurines et des paysages complexes aux possibilités quasi infinies de l’univers numérique. Wartile, récemment lancé officiellement après une période en accès anticipé, a tenté cette fusion. Et a échoué.

« Le jeu de course le plus beau, le plus réaliste et le plus avancé de la planète. » Rien de moins! Force est d’admettre que les développeurs de chez Slightly Mad Studios sont ambitieux. Et si le résultat de leurs efforts, le jeu de course Project Cars 2, récemment lancé sur PC et consoles sous l’étiquette Bandai Namco, est effectivement magnifique et particulièrement prenant, il est aussi franchement exigeant. 

Sur une étrange planète à la surface uniformément recouverte de tours identiques, En, jeune femme à peine sortie d’un sommeil cryogénique d’un siècle, part à la recherche d’une méthode légendaire pouvant ressusciter un être aimé dont l’essence aurait été conservée dans un cube d’énergie. 

Est-il possible de mélanger l’ambiance mystérieuse des X-Files à l’humour absurde des Monty Python? C’est l’improbable pari que relève le studio torontois Finish Line Games avec son jeu d’aventure Maize.

The scent of spices on a cold night in the desert. The faint light of torches, far away. And between two houses, a shadowy figure: our hero, who will need all of his wit – and probably his wip, to triumph against the forces of Evil. Welcome to the City of Brass.

The road to videogame success is treacherous. Release too early, or without major features, and you’ll risk alienating you fanbase and ruin your chances to sell the right amount of copies. Wait too long, and players will lose interest and buy something. And for Little Green Men Games, developer of Starpoint Gemini Warlords, the challenge consist in releasing a « complete » product, while still providing additional content for the months – and maybe the years – to come.