The Fabelmans révèle la façon dont Steven Spielberg est tombé amoureux du cinéma ainsi que ses premiers pas dans le métier, mais au-delà de la simple autobiographie, ce film touchant plaira également au grand public, à travers l’histoire de cette famille à laquelle tous pourront s’identifier.
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Bien qu’il ait manifesté des pouvoirs surnaturels dans le passé et qu’il ait toujours ressuscité, comme par magie, pour commettre de nouveaux massacres, le règne de terreur de Michael Myers se termine une fois pour toutes avec Halloween Ends.
Sans être le film de l’année, Beast constitue un divertissement honnête, qui compense la maigreur de son scénario par une distribution de talent, des scènes d’action enlevantes, des effets spéciaux à la fine pointe de la technologie, et une direction photo mettant en valeur les paysages d’Afrique du Sud.
Bien que Jordan Peele avoue avoir été influencé par Close Encounter of the Third Kind, Nope évoque plutôt une autre œuvre de Spielberg, Jaws, alors que l’on scrute le ciel bleu plutôt que la mer dans l’appréhension de la prochaine attaque de la créature extraterrestre.
Décrivant à merveille le monde de l’enfance, E.T. the Extra-Terrestrial n’a rien perdu de sa magie, et 40 ans plus tard, le long-métrage de Steven Spielberg trône toujours parmi les meilleurs films famille jamais réalisés.
Avec un scénario trop prévisible, de l’humour au premier degré, des comédiens qui sonnent faux, mais des visuels absolument magnifiques, The Munsters est non seulement la moins réussie des réalisations de Rob Zombie à ce jour, mais aussi l’un des pires films de l’année.
Sans être aussi bon que Sinister, The Black Phone est tout de même supérieur à la moyenne des long-métrages du genre.
Même s’il est un peu moins bon que Fallen Kingdom, les cinéphiles voudront certainement voir Jurassic World Dominion, ne serait-ce que pour assister au grand retour de Jeff Goldblum, Sam Neill et Laura Dern, les vedettes de la trilogie originale.
J’ignore si le scénariste Julian Fellowes a l’intention de continuer à explorer l’univers qu’il a créé, mais il pourrait facilement s’arrêter ici, puisque Downton Abbey: A New Era procure une finale satisfaisante à l’ensemble de la franchise.
Encore moins mémorable que la version de 1984, qui était pourtant loin d’être exceptionnelle, Firestarter est un remake banal, qui démontre que les œuvres de Stephen King, peu importe leurs qualités littéraires, ne font pas nécessairement de bons films.