C’était une bonne idée: un compte Twitter uniquement destiné à rappeler que telle ou telle étude montée en épingle dans les médias ou les réseaux sociaux n’a en réalité été menée « que sur des souris ». Sauf que le compte ne devrait pas oublier de rappeler que le péché est souvent commis par les scientifiques eux-mêmes.
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En lice pour le titre d’euphémisme de l’année: une étude conclut qu’en matière de nutrition et de santé, les « influenceurs » des réseaux sociaux « ne sont pas des sources de conseils dignes de confiance ».
Quatre épisodes, ces dernières semaines, révèlent que l’avenir de la vaccination se jouera peut-être devant des tribunaux… ou sur les réseaux sociaux. Et ces épisodes posent des questions sur la possibilité (ou non) d’établir un dialogue avec les éléments les plus extrêmes des groupes anti-vaccins.
Si Twitter et Facebook sont déjà omniprésents chez les jeunes internautes, les grands noms des médias sociaux semblent trouver un nouveau public chez les 55 à 64 ans, révèle une nouvelle étude publiée jeudi par le CEFRIO.
Les chats et les chiens ne sont pas les seuls animaux mignons qui règnent en maîtres sur internet. Nous nous pâmons également pour des vidéos de quelqu’un serrant un bébé tigre dans ses bras, nourrissant un paresseux ou chatouillant un loris.
Une nouvelle étude révèle que la vie privée, sur les médias sociaux, est à l’image de la fumée secondaire: elle est contrôlée par les gens qui vous entourent.
Les médias canadiens chantent-ils Je t’aime, moi non plus aux géants du web? C’est ce qui semble ressortir du plus récent rapport de tendances publié lundi par le Fonds des médias du Canada (FMC).
En 2019, le « fact-checking », jadis réservé à une poignée de journalistes passionnés, va continuer de gagner de l’importance dans l’espace public, alors que de nombreux gouvernements parlent de réglementer la désinformation, et que les Facebook et Twitter de ce monde craignent comme la peste d’être réglementés.
Marie-Hélène Boisvert aime le vin. L’expression est un peu vague, certes, mais force est d’admettre qu’au fil des années, celle qui est entre autres gestionnaire de communauté pour la Société des alcools du Québec (SAQ) a continuellement renforcé et développé son amour des bonnes choses, qu’elles soient charnues, fruitées ou encore aromatiques.
Un système s’appuyant sur un algorithme qui identifie des indices linguistiques dans les fausses nouvelles pourrait servir de nouvelles armes dans la lutte contre la désinformation.