Même s’il ne s’agit pas du meilleur film de superhéros, The Flash vaut le visionnement, ne serait-ce que pour le grand retour de Michael Keaton dans le rôle de Batman. Quiconque est familier avec la culture populaire appréciera cette aventure, qui jette un regard à la fois familier et différent sur l’univers cinématographique de DC.
Guardians of the Galaxy vol.3 est la marque évidente d’un créateur et probablement le meilleur exemple pour voir si on l’apprécie vraiment, au final. Le film est à mi-chemin entre la commande et son désir de finalement s’émanciper pour ce qu’il est vraiment, pour le meilleur et pour le pire.
Espérons seulement que ce navet permettra de remettre les pendules à l’heure, de faire face à un certain échec et de repousser les grosses têtes à revisiter leurs pratiques et à nous redonner envie de s’intéresser à leurs curieuses bibittes.
Si rien ici ne fait office de révolution, on salue l’émouvant hommage qui garde l’honneur sauf dans ce qui est indubitablement une franche réussite.
Avec sa science-fiction originale et adulte, il est facile de comprendre pourquoi Nexus a reçu autant de récompenses.
Spider-Man : No Way Home se contente au final de faire plaisir, de donner presque uniquement aux fans et aux fidèles, en oubliant de beaucoup les néophytes ou ceux qui voudraient seulement passer un bon moment.
The Suicide Squad n’est pas une œuvre profonde qui porte à réfléchir, mais bien un divertissement aussi violent que drôle.
Venom: Let There Be Carnage est un foutoir aussi indescriptible que son prédécesseur, ce qui respecte à sa manière le style qu’on avait mis de l’avant dans le titre précédent.
Avec cette version du réalisateur, Justice League retrouve une bonne partie de ses lettres de noblesse.
Wanda et la Vision constitue une excellente porte d’entrée pour ceux et celles qui souhaitent s’initier à ce célèbre couple de l’univers Marvel.
