Clipper effectuera c ses observations depuis une orbite rapprochée autour d’Europe. Quant à Juice, il vise, comme son nom l’indique, « les » lunes glacées (Europe, Ganymède, Callisto). Mais si les Terriens qui ont envoyé ces deux sondes spatiales sont chanceux, elles pourraient se trouver au bon endroit pour analyser la composition chimique d’un de ces geysers : la présence de matériel organique pourrait être la preuve attendue.
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À 25 milliards de kilomètres, soit plus de 5 fois plus loin que Pluton, il fallait 22 heures et demi pour que cette « mise à jour » se rende jusqu’à la petite antenne de Voyager 1.
Farah Alibay a aussi profité de l’organisation de cette exposition pour mettre de l’avant la contribution de six femmes à l’avancement de la science, en lien plus ou moins direct avec l’exploration spatiale. Des femmes dont l’apport a souvent été oublié, volontairement ou non, ou relégué aux oubliettes de l’histoire.
Après les missions habitées, il s’agit maintenant de sondes automatiques, dont les compagnies sont prêtes à échouer pour apprendre de leurs erreurs: il faut donc s’attendre à des résultats moins spectaculaires.
Des avions, des ballons, des sismographes, des détecteurs d’infrasons et d’autres équipements, étaient donc à l’écoute le 24 septembre, entre le moment où la capsule est entrée dans l’atmosphère au-dessus de San Francisco, et celui où son parachute s’est déployé, sept minutes plus tard.
L’échec de la mission Luna-25 s’inscrit dans une série de coups durs pour le programme spatial russe. Depuis la fin des années 1970, l’agence a dû composer avec une série de fusées qui explosent, une navette spatiale utilisée une seule fois et une mission vers Mars qui n’a jamais dépassé l’orbite terrestre, souligne-t-on dans un article du New Scientist.
Voyager 2 a quitté la Terre en 1977 pour explorer Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune. Elle est entrée dans l’espace interstellaire en 2018 et se trouve maintenant à 12,3 milliards de kilomètres de la Terre.
Le Soleil suit par ailleurs des cycles de 11 ans. À leur sommet, on assiste à davantage d’éruptions, et on observe davantage de trous coronaux qui, au lieu d’être concentrés aux pôles, peuvent apparaître n’importe où.
Les chercheurs ont découvert ce qui pourrait être une source de chaleur au sein du manteau rocheux des lunes, qui entraîne la production de liquides, et qui aiderait un océan à maintenir un environnement tiède. Le tout pourrait favoriser une colonisation humaine.
Jusqu’ici, la meilleure vue d’ensemble était celle provenant du télescope Hubble, depuis l’orbite terrestre.