« La COVID-19 n’est pas encore assez bénigne pour être traitée comme un rhume, parce qu’elle rend des gens assez malades pour être incapables de travailler. »
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En tout, depuis 2020, au moins 60 études sur des humains ont été autorisées, la plupart ayant rendu, depuis, des résultats défavorables.
Les reproches les plus sévères sont adressés au groupe d’experts qui, au printemps 2020, avait été à l’origine de cette stratégie, « basée sur les opinions d’un nombre très limité d’individus ».
Les créateurs de ces tableaux sont régulièrement pris par surprise: plusieurs personnes peuvent avoir une préférence pour les graphiques à barres.
Certains croient la question du droit à l’avortement réglée. D’autres s’emploient à diffuser de fausses informations sur les risques de cette intervention sur la santé des femmes.
Si la confiance envers la santé publique et entre citoyens était partout la même qu’en Corée du Sud, les infections auraient pu être réduites de 40 %.
Chez les 5 à 11 ans, les risques de complications lors de l’infection par la COVID-19 sont très faibles. Par contre, avec le vaccin, les risques de complications sont au moins 150 fois plus faibles.
« La taille des chiffres suggère que la COVID longue mérite d’être considérée dans les discussions sur la pénurie de main-d’oeuvre. »
Dis-moi pour qui tu votes, je te dirai si tu respectes les mesures sanitaires?
Trente millions de fumeurs en moins d’ici 2025: selon le plus récent rapport de l’Organisation…
