Chez les souris, l’approche a permis de stopper la croissance et la propagation d’une tumeur, révèle l’étude publiée en juin dans le journal Science Advances. Le taux de survie des souris traitées avec les microrobots était également plus élevé que celui des souris ayant reçu le traitement conventionnel (37 jours contre 27).
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Oui, Mercenary Battle Company: The Reapers ne coûte que 5$ US, mais bien franchement, ce ne sont pas les alternatives plus intéressantes qui manquent, n’en déplaise à de jolis visuels et à une mécanique de surchauffe qui a l’avantage d’être novatrice.
« À mesure que les ingénieurs adaptent les principes d’intégration du monde biologique, les robots coureurs devront aussi efficaces, agiles et robustes que leurs équivalents vivants. »
Farah Alibay a aussi profité de l’organisation de cette exposition pour mettre de l’avant la contribution de six femmes à l’avancement de la science, en lien plus ou moins direct avec l’exploration spatiale. Des femmes dont l’apport a souvent été oublié, volontairement ou non, ou relégué aux oubliettes de l’histoire.
« Les conclusions démontrent que la façon dont l’autonomie des robots est perçue – et, ultimement, la façon dont on juge leur possible culpabilité – est influencée, de façon très subtile, par la méthode employée pour les décrire. »
Les armes autonomes contrôlées par l’IA existent d’ores et déjà, et en dépit des progrès des dernières années, il est acquis qu’elles peuvent encore faire des erreurs. De plus, le potentiel de dommages élevé est inhérent à la nature même de ces systèmes: leur rapidité, qui constitue leur principal attrait aux yeux des militaires, et leur complexité.
« En utilisant des algorithmes futés et une touche d’intelligence artificielle, nos systèmes déterminent ce que veulent les utilisateurs avec des questions simples se répondant par oui ou par non. »
ChatGPT pourrait-il remplacer les réviseurs humains? C’est ce qu’ont voulu tester des chercheurs dirigés par James Zou, expert en apprentissage-machine à l’Université Stanford, en Californie.
Les données portent à croire que les humains n’auraient pas nécessairement pas besoin de machines qui leur ressemble pour leur faire confiance et travailler avec elles. Il semble plutôt être plus aisé de collaborer avec des robots qui n’ont pas ce côté « humain ».
On trouvait peu d’arguments, dans le sondage, voulant que les investissements dans les technologies alimentées par l’IA entraînaient des pertes d’emplois. En fait, les entreprises qui adoptaient ces technologies avaient davantage de chances d’avoir embauché davantage d’employés pendant les cinq années précédant l’étude.