« De l’histoire révisionniste »: le géant des réseaux sociaux Facebook condamne sans nuance la mégapoursuite intentée aux États-Unis par l’arbitre des transactions financières, la Federal Trade Commission, ainsi que par 40 États.
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Les médias vont mal, ici comme ailleurs; cela est connu, documenté, mentionné, souligné, voire archi souligné… Il n’est pas étonnant, donc, que les essais tentant de décortiquer la crise des médias se multiplient, avec tout autant de solutions. L’animatrice et productrice télé et radio Marie-France Bazzo ne fait pas exception à la règle, avec la parution récente de Nous méritons mieux, aux éditions du Boréal.
Un effort coordonné sur Twitter visant à influencer l’élection présidentielle américaine du 3 novembre, en utilisant des trolls et des comptes disposant d’une très forte visibilité, a pour but de semer la discorde, exacerber les divisions politique et saper la confiance envers la démocratie américaine, selon une nouvelle étude de la RAND Corportation. Et ce pourrait bien être le Kremlin qui est derrière tout cela.
Les temps sont durs pour les journalistes. En plus de devoir compenser les pertes de revenus croissantes attribuées aux médias sociaux et aux confinements successifs provoqués par la COVID-19, voilà que cette même pandémie alimente le sentiment anti-journaliste au sein d’une certaine frange de la population.
On lui prête des intentions parfois malveillantes, ou du moins un désintéressement néfaste; ses pratiques commerciales font grincer des dents, notamment quand les créateurs sont confrontés à des changements soudains et coûteux. Et pourtant, lorsque vient le temps de s’informer, YouTube pourrait servir « d’égalisateur » pour les diverses plateformes médiatiques, révèle un récent sondage.
Les Facebook, Twitter et autres WhatsApp de ce monde censurent-ils les propos politiques en ligne? La question se pose, notamment aux États-Unis, où la notion de liberté d’expression a bien souvent le dos large, et où la prochaine élection présidentielle, dans un peu plus de deux mois, se joue notamment sur le terrain de la « censure » des points de vue conservateurs. Un récent sondage démontre d’ailleurs que la quasi-totalité des électeurs républicains américains croit que leurs idées sont censurées en ligne.
Les trolls, les imbéciles et autres individus particulièrement déplaisants sur les réseaux sociaux ont-ils une responsabilité quant à l’impact de leurs messages haineux, mesquins, sexistes et autres? Avec quelques gags pour alléger l’atmosphère, le film The Columnist, présenté ici dans le cadre de l’édition 2020 du festival Fantasia, s’intéresse à la question.
Un groupe antivaccins a déposé une poursuite contre des organismes qui vérifient les faits, alléguant que ceux-ci donnent l’impression qu’il est peu crédible.
La santé a la cote sur les réseaux sociaux, mais pas nécessairement pour les bonnes raisons: un nouveau rapport de l’organisation Azaaz révèle que les algorithmes de Facebook ont permis de multiplier les clics et les visionnements de fausses nouvelles et de contenus erronés en matière de santé. En un an, l’entreprise de Mark Zuckerberg aurait ainsi entraîné quelque 3,8 milliards de vues pour de tels contenus, révèle le rapport en question.
Le réseau social Twitter poursuit ses démarches visant à rétablir sa crédibilité et à lutter contre la désinformation. Une journée après avoir forcé l’équipe de campagne du président américain Donald Trump à retirer un message qualifié de malhonnête à propos de la COVID-19, voilà que l’entreprise américaine annonce que les comptes des médias d’État seront maintenant clairement identifiés comme tel sur le service en ligne.