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L’époque: la campagne présidentielle américaine de 2016. Le lieu: le deuxième débat entre les deux candidats, le républicain Donald Trump et la démocrate Hillary Clinton. L’ambiance est exécrable, les deux adversaires en sont pratiquement à s’insulter directement. Et voilà que se lève l’un des membres du public avec une question portant sur la protection de l’environnement et des emplois dans le secteur minier. Cet homme, c’est Ken Bone.

Donald Trump est devenu président à midi le 20 janvier. Et à la même minute, toutes les mentions des changements climatiques sont disparues du site de la Maison-Blanche, déclenchant une colère sur les réseaux sociaux. Cette colère vise-t-elle la bonne cible? Pas vraiment. Cinq clés pour comprendre.

Une prise de position tout à la fois contre le sexisme, la discrimination et l’anti-intellectualisme. C’est une lettre rédigée à la hâte par cinq femmes scientifiques dans la foulée de l’élection de Trump, mise en ligne le 17 novembre avec 500 signatures, et qui a déjà dépassé, après quelques jours, le cap des 5000 appuis.

Quoiqu’on dise pour critiquer la candidate démocrate Hillary Clinton, il y aura toujours quelqu’un pour nous rappeler qu’elle est bien moins pire que le candidat républicain Donald Trump. N’empêche que pendant que le parti démocrate se contredit pour le pouvoir, le citoyen moyen reste captif de l’industrie du crédit, ancrée dans la société américaine bien avant que le candidat grossier pose sa candidature.

Donald Trump a jugé mercredi que le président russe Vladimir Poutine faisait un meilleur chef d’État que Barack Obama, tentant de s’imposer dans un forum télévisé face à Hillary Clinton comme le mieux à même de réaffirmer la puissance américaine.

Des participants à la convention républicaine de Cleveland ont vomi, et ce n’est pas pour la première raison qui viendrait à l’esprit. Un microbe, un vrai, est à l’œuvre — une de ces choses qui se propagent de façon virale lorsqu’elles disposent d’un environnement favorable.

Et si les élections américaines de 2016 devenaient celles où le réchauffement climatique se transformait en un enjeu… même pour les républicains? Surtout pour l’un d’eux, Donald Trump, dont les propriétés vont tôt ou tard avoir les deux pieds dans l’eau.