La décision des autorités japonaises de vider dans l’océan plus d’un million de tonnes de l’eau radioactive qui est entreposée dans des réservoirs depuis l’accident de la centrale nucléaire de Fukushima, a éclipsé une autre réalité: dix ans après cet accident, la région recommence à se peupler.
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La colonisation de Mars est de retour dans l’actualité, gracieuseté d’Elon Musk. L’homme d’affaires un brin excentrique évoque à nouveau cette semaine son idée d’envoyer un million d’humains sur Mars d’ici 2050. Or, le principal obstacle n’est pas la quantité phénoménale de lancements que cela pourrait signifier, mais la quantité de radiations à laquelle ces « Martiens » devraient tenter d’échapper.
Près d’une décennie après l’accident nucléaire à Fukushima, au Japon, des chercheurs de l’Université de la Géorgie ont découvert que les populations d’animaux sauvages sont particulièrement importantes dans les zones où ne vivent aucun être humain.
Moscou a lancé son premier réacteur nucléaire flottant dans les eaux bordant le pôle Nord, rapporte La Vanguardia le 24 août. Alors que l’ex-premier ministre du Japon, Kan Naoto explique la complexité de la gestion de l’accident nucléaire de Fukushima survenue en 2011 dans le Monde diplomatique d’août.
Huit ans après l’accident de la centrale nucléaire de Fukushima, la majorité des anciens habitants a reçu l’autorisation d’y retourner, et l’interdiction pour les autres pourrait être levée d’ici 2020. Une autorisation que plusieurs reçoivent avec soulagement, et quelques-uns avec inquiétude.
Il y a 30 ans, la centrale nucléaire de Tchernobyl à Pripyat, en Ukraine, devenait le site du pire accident atomique de l’histoire. Si les humains sont désormais peu nombreux dans la zone d’exclusion entourant le site, une série d’études – y compris une recherche récemment publiée menée à l’aide de caméras photo par des scientifiques du Savannah River Ecology Laboratory de l’Université de Géorgie – viennent valider l’hypothèse voulant que la vie sauvage est abondante sur le site.