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« Les conclusions de notre étude soulignent l’impact négatif de l’exposition à des images sexualisées, ce qui est une part croissante des réseaux sociaux, de nos jours, et qui entraîne une multiplication des comparaisons sociales à ce genre d’images. »
Autrement dit, un chercheur qui est « né » anglophone part avec des longueurs d’avance sur un « non-anglophone », et rencontrera moins d’obstacles sur sa route.
Le chimiste a admis que, depuis décembre, il avait utilisé ChatGPT, l’application d’intelligence artificielle, pour « polir » ses textes.
Le seul fait que ces « usines à articles » existent est une autre illustration de la pression à publier qui pèse sur des chercheurs, au détriment de tout le reste, et du fait que les opportunités pour publier sont plus rares dans certains pays.
Les auteurs de l’étude ont avant tout pour but d’envoyer un message, qui s’applique aussi bien aux sciences sociales qu’aux sciences : l’importance que pourrait avoir le principe de « révision par les pairs en double aveugle », si on choisissait de l’implanter.
« Presque tout le monde dit que c’est bien parti —, mais qu’il y avait encore beaucoup de chemin à faire ».
Dans les premiers jours de la mise au point de vaccins contre la COVID-19, un média social moins connu a offert une plateforme pour des gens partageant les mêmes avis afin qu’ils puissent parler de vaccins, partager de fausses informations et spéculer sur les motivations pour leur mise au point. Une nouvelle étude de l’Université du Kansas démontre que des gens se sont rendus sur la plateforme en question, Parler, pour y trouver une « chambre d’écho », et que ces conversations peuvent permettre de mieux communiquer à propos de l’efficacité vaccinale lors de crises sanitaires.
Chaque année, le blogue Retraction Watch fait son bilan des erreurs de publication les plus mémorables des 12 derniers mois — celles assez grosses pour avoir conduit à une rétractation, c’est-à-dire le retrait d’un article publié. Sans surprise, la COVID-19 domine là aussi cette année.
Vous êtes partisan de l’accès gratuit aux recherches scientifiques et vous voulez que vos recherches soient accessibles à tous les lecteurs d’une revue scientifique prestigieuse dès leur publication? L’éditeur de la revue Nature est finalement d’accord. À condition que vous payiez 9500 euros.