En 2021, une nouvelle loi en France avait aboli les vols en avion sur des trajets qui peuvent être accomplis par des trains en moins de 2 h 30.
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La fumée des incendies ne se rend normalement pas jusqu’à la stratosphère, mais l’ampleur de ces incendies les plaçait dans une catégorie à part.
Malgré les mesures mises en place au pays, le Canada ne pourrait réduire ses émissions que de 25 à 35 % d’ici 2030, plutôt que les 45 % visés.
Plusieurs études démontrent que les personnes membres de communautés racisées étaient exposées de façon disproportionnée à la pollution de l’air aux États-Unis. Cependant, il n’était pas possible de déterminer si cette exposition inégale était liée à une poignée de sources d’émission, ou si les causes étaient davantage systémiques. Une nouvelle recherche révèle que cette disparité avec les populations blanches est plutôt alimentée par presque toutes les sources polluantes.
Abolir les voyages en avion sur des distances qui peuvent être couvertes par un train en deux heures et demie: c’est ce que pourrait accomplir la loi dont l’adoption en France a franchi une étape importante samedi. Mais encore faut-il avoir des trains…
Le confinement presque mondial avait provoqué, au printemps 2020, une baisse significative des émissions de gaz à effet de serre. Plusieurs se doutaient que ça ne durerait pas indéfiniment, et il s’avère que c’est déjà fini: les émissions de décembre 2020 ont légèrement dépassé celles de décembre 2019.
La santé de « dizaines de millions de personnes » serait mise à mal par la mauvaise gestion des déchets produits par nos villes et nos usines, notamment lorsque ces rebuts sont brûlés, révèle une récente étude mondiale réalisée par l’Université de Leeds, au Royaume-Uni.
La concentration de méthane dans l’atmosphère serait en augmentation. Bien qu’il soit encore difficile de séparer la part humaine de la part « naturelle » de ce gaz dans l’atmosphère, les observateurs constatent que le méthane avait atteint, en 2019, un niveau record de 1875 parties par milliard, plus de deux fois et demi ses niveaux d’avant l’ère industrielle.
Les flottes de véhicules commerciaux qui circulent dans les grandes villes pourraient réduire leurs émissions de moitié et respecter plus aisément les cibles en matière de qualité de l’air à l’aide d’une nouvelle technologie développée par des chercheurs de l’Université Aston (Royaume-Uni), qui imite la façon dont les fourmis partagent des informations, et qui, à plus grande échelle, permet de s’attaquer à d’importants problèmes, comme l’optimisation des trajets dans les métropoles.
La plupart des gens l’ont oublié, mais la guérison de la couche d’ozone se poursuit: le « trou » continue de se résorber au-dessus de l’Antarctique, et on commence à pouvoir en mesurer l’influence sur… la direction des vents.