C’était dans l’air depuis quelques semaines déjà, et c’est maintenant chose faite: Gabriel Nadeau-Dubois briguera l’investiture de la circonscription de Gouin, laissée orpheline par Françoise David, et se joint donc publiquement à Québec Solidaire.
Browsing: politique
Si la cinéaste Leni Riefenstahl était encore de ce monde, elle aurait tourné un mélodrame de série B en Technicolor du M. Trump à la Maison-Blanche. Le 45e président a beau dire n’importe quoi, les politiciens de pays comme la Suède saisissent la nuance entre vérité et « alternative facts ».
L’époque: la campagne présidentielle américaine de 2016. Le lieu: le deuxième débat entre les deux candidats, le républicain Donald Trump et la démocrate Hillary Clinton. L’ambiance est exécrable, les deux adversaires en sont pratiquement à s’insulter directement. Et voilà que se lève l’un des membres du public avec une question portant sur la protection de l’environnement et des emplois dans le secteur minier. Cet homme, c’est Ken Bone.
Comment faire en sorte que la science et les recommandations basées sur des données crédibles enrichissent les politiques publiques? Rémi Quirion, le scientifique en chef du Québec, a brièvement exposé les clés du modèle québécois en la matière à ses collègues scientifiques réunis ce weekend à Boston dans le cadre du congrès de l’Association américaine pour l’avancement des sciences.
Si la plupart du temps, le président américain semble agir de façon irréfléchie et spontanée, la pression qu’il exerce sur les membres de l’OTAN pour allouer 2 % de leur PIB aux dépenses militaires rejoint sa vision stipulée dans An Open Letter from Donald J. Trump on Why America Should Stop Paying to Defend Countries That Can Afford to Defend Themselves, publiée par le New York Times, le Washington Post et le Boston Globe en 1987.
Donald Trump est-il sain d’esprit? Depuis 1973, le code d’éthique des psychiatres américains leur interdit de poser un tel diagnostic sur une personnalité publique. Une recommandation à laquelle ont passé outre 35 d’entre eux, qui ont publié le 14 février dans le New York Times une lettre, qui leur a immédiatement valu une réplique d’un éminent collègue.
L’intensité de la poignée de main américano-nippone du 10 février a indiqué au premier ministre canadien de bien se muscler les mains pour son rendez-vous de lundi avec le président américain, décrit comme un solitaire par le quotidien argentin La Nacion et comme un fasciste par des parlementaires islandais, d’après le webzine Reykjavik Grapevine.
Une salle de conférence anonyme et grise. Beaucoup de têtes blanches, mais aussi beaucoup de jeunes, pour la plupart des hommes. Au milieu des gobelets à café vides, quelques drapeaux confédérés, des dépliants.
Les politiques sociales démocrates et d’éducation publique inspirées du modèle suédois dans les discours du candidat Bernie Sanders pendant la campagne électorale américaine semblaient utopiques. En revanche, les électeurs croyaient à l’utopie de l’approche télé-réalité du candidat Donald Trump. N’empêche que les positions prises par le gouvernement suédois barrent la route aux ambitions hégémoniques du nouveau président américain.
C’est sous la bannière de l’économie protectionniste que Donald Trump relance les deux projets de pipeline Keystone XL et Dakota Access. Même si ces projets restent grandement controversés, le nouveau président américain promet richesse et emplois au peuple américain au détriment de la protection de l’environnement.