Aucun des candidats n’a entre autres montré de signe comme quoi les investissements dans l’IA allaient ralentir, mais aucun n’a non plus évoqué comment ils entendaient règlementer ce secteur en forte croissance.
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« Alors que Poutine ne semble manifester aucun désir de faire la paix, nous ne pouvons qu’espérer que la machine de guerre russe ne s’épuise d’elle-même – et que les conséquences à long terme ne soient pas fatales. »
« Aujourd’hui, le risque le plus important est l’élément humain – la désinformation, la propagande, la manipulation via les médias, les efforts ciblés pour faire en sorte que des populations précises votent ou ne votent pas, ainsi que les tentatives d’autres pays pour provoquer le chaos ou interférer dans nos élections. »
« La faim est devenue une arme mortelle utilisée par les belligérants sans égard au droit international, provoquant une hausse alarmante des décès et des souffrances humaines. »
« L’IA nous aide à identifier des tendances qui sont difficiles à détecter avec des méthodes traditionnelles. Il s’agit d’une étape importante vers la prévision de futures migrations, et ainsi fournir de meilleurs outils aux communautés vulnérables pour qu’elles puissent gérer les impacts de la crise climatique. »
Les réformes démocratiques n’ont pas seulement besoin de l’appui des gouvernements, elles ont aussi besoin de celui du public. Même la meilleure « technologie délibérative » n’ira pas loin si les gens sont « résistants aux nouvelles idées et perspectives », souligne le professeur d’informatique Simon Buckingham Shum, de l’Université de technologie de Sydney, en Australie.
Au dire des auteurs des travaux, cette polarisation est « devenue partie intégrante » de la société américaine, potentiellement en raison d’une exposition à de multiples campagnes électorales au fil des décennies.
« Le populisme est devenu une partie intégrante de la politique contemporaine, en influençant les stratégies des parties et leurs idéologies à travers l’Europe. »
La crainte était pourtant grande qu’avec les avancées technologiques des deux dernières années, qui permettent de créer des images et des vidéos difficiles à distinguer des « vraies », la désinformation sur les réseaux sociaux ne s’en donne à coeur joie.
Données à l’appui, les spécialistes du Pew Research Center soutiennent que plus d’une majorité d’Américains souhaitent la fin de cette méthode électorale, et ce, depuis bientôt un quart de siècle. En fait, avec 63% d’appuis en 2024, cette mise au ban est à peine un peu plus populaire qu’en 2000, où 61% des participants favorisaient cette même solution.