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Si les partis politiques centraux ont fait de l’antitrumpisme un argument électoral, le parti d’extrême-droite a fait une percée aux dernières élections fédérales avec l’obtention de 13,5% des voix. Coincée entre deux, l’Allemagne qui a renouée avec l’universalisme de Goethe est-elle à la dérive ? 

Après le «A new day is on the horizon» de l’animatrice de talk-show Oprah Winfrey à la 75e cérémonie des Golden Globes, et les médisances de l’animateur radiophonique d’extrême droite Steve Bannon véhiculées dans le livre Fire and Fury, la tribune populiste du président américain perd de son exclusivité.

Cheffe du Mouvement Vert-Gauche, Katrín Jakobsdóttir a été nommée première ministre d’Islande le 30 novembre. La nouvelle coalition comprend des ministres de gauche et de droite et détient une fragile majorité de 35 sièges sur les 63 que compte l’Althing.

À l’annonce de la rencontre du premier ministre du Canada, Justin Trudeau avec la conseillère d’État du Myanmar (Birmanie), Aung San Suu Kyi le 10 novembre à Hô-Chi-Minh-Ville au Vietnam, pourquoi ne pas revenir sur le documentaire Le vénérable W. (2017) du cinéaste suisse d’origine iranienne, Barbet Schroeder qui s’appréhende avec une interrogation. En quête du nirvana, comment des moines bouddhistes peuvent-ils s’adonner à des manifestations violentes ?

Ligne rose ou équipe de baseball, le dilemme des Montréalais aux élections municipales 2017 est assez rigolo à comparer au sort des 23 maires mexicains assassinés depuis l’élection du président Enrique Peña Nieto, en 2012, rapporte El Pais le 22 octobre. N’empêche que la situation catastrophique au Mexique est un exemple des conséquences de la corruption dans laquelle ont baigné les deux précédents maires de Montréal.

Un an après les dernières élections législatives du 29 octobre 2016 en Islande et dix mois après que la dernière coalition tripartite ait formé le gouvernement islandais le 9 janvier, les résultats aux élections du 28 octobre risquent de plonger les politiciens dans un nouveau casse-tête d’alliances afin d’administrer cette société en mutation.

« Je ne m’abaisserai pas à de telles frivolités. » Voilà ce qu’a lancé mercredi le secrétaire d’État américain Rex Tillerson. Le chef de la diplomatie américaine avait convoqué la presse à la dernière minute à la Maison-Blanche, sans ajouter l’événement à l’horaire officiel, alimentant les rumeurs sur une possible démission.