Il a été constaté que le fait d’accroître la consommation d’aliments végétaux non transformés par aussi peu que 10% était lié à une diminution de 13% des risques de mortalité des suites d’une maladie cardiovasculaire, et d’une baisse de 20% des risques de mourir des suites d’une maladie coronarienne.
La poussière générée par cet impact aurait pu empêcher la majeure partie des rayons du Soleil d’atteindre le sol. Entraînant du coup la mort d’une bonne partie des végétaux.
Ces débats font parfois oublier que les modifications génétiques font partie intégrante des méthodes traditionnelles de sélection végétale employés par les agriculteurs.
Il s’agit d’une algue unicellulaire du groupe des cryptomonades, qu’on retrouve un peu partout dans des bassins d’eau douce.
C’est un « signal d’alarme », commente la biologiste suisse Sabine Rumpf, à l’effet que, déjà, les impacts du réchauffement se font sentir sur la végétation, tout autour de nous.
Moins d’oiseaux veut dire moins de crottes dans l’eau. Moins de crottes veut dire moins d’azote et de phosphore dans l’eau. L’azote et le phosphore contribuaient à la croissance des algues autour des récifs de corail.
« Même dans la comédie musicale Cats, il y a des scènes où vous voyez un chat en intoxiquer un autre avec de la poudre d’herbe à chat. »
Il semble clair que le carton est une méthode efficace et sécuritaire pour se débarrasser des mauvaises herbes. Il comporte toutefois des désavantages qui peuvent le rendre moins intéressant pour certains types de jardins.
Si les fortes pluies et les sécheresses se multiplient, les chercheurs espèrent que de nouvelles technologies génétiques peut accroître la résilience des plants de riz avant qu’il ne soit trop tard.
Le constat semble être qu’il serait bel et bien possible à une éventuelle colonie lunaire de faire pousser quelque chose dans le sol de notre satellite naturel.
