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Il aura fallu attendre plusieurs mois, mais il sera finalement possible de s’émerveiller devant les tableaux de maîtres de la période postimpressionniste dans les galeries du Musée des Beaux-Arts de Montréal (MBAM). Dès le 4 juillet, le public pourra découvrir Paris au temps du postimpressionnisme – Signac et les Indépendants, une exposition qui sera présentée jusqu’au 15 novembre.

Trou noir, clair-obscur, photographie, black métal, éclipse : des facettes qui incarnent l’obscurité à leur tour, mais cette soi-disant absence de lumière nécessite un cadre pour la désigner telle quelle. Entre documentaire et vidéo d’art, Aleph Null & The Missing Mass (2017) du cinéaste norvégien Tor-Finn Malum Fitje plonge dans cet abyme sans dégager notre siège de spectateur.

Pour le 500e anniversaire (et des poussières) de la mort de Jérôme Bosch, le peintre sans doute le plus énigmatique de toute l’histoire de l’art, Les 7 doigts signent une plongée à la fois onirique, poétique, pédagogique, comique et un peu circassienne dans l’univers des tableaux du peintre hollandais. Le 10e festival Montréal complètement cirque est ouvert.

À Barcelone, délaisser la Rambla pour monter le Montjuïc mène à la Fondation Miró. Avec l’exposition Miró à Majorque. Un esprit libre, le Musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ) présente jusqu’au 8 septembre la période où l’artiste Joan Miró (1893-1983) travaillait dans son atelier sur l’île méditerranéenne de Majorque au large de la Catalogne.

À l’occasion du 500e anniversaire du décès de l’artiste et ingénieur florentin, Leonardo Da Vinci, l’Opficio delle pietre dure de la ville de Florence en Italie a confirmé que ce maître de la physionomie et de la technique utilisait ses deux mains, rapporte La Vanguardia le 8 avril.

Difficile, de nos jours, de ne pas connaître l’oeuvre de Fernando Botero. L’artiste colombien, autant peintre que sculpteur, a fait le tour du monde avec ses personnages plus ronds que nature. Dans le cadre du Festival international du film sur l’art (FIFA), le réalisateur Don Millar trace un portrait tout en nuances de celui qui est possiblement le plus grand artiste vivant de notre époque.

La dernière création de Dimitris Papaioannou est à l’Usine C pour quelques jours à peine. Le créateur a d’abord été reconnu comme peintre et bédéiste, mais ce sont ses mises en scènes de performances vivantes qui ont fait voyager son nom aux quatre coins du globe. Si on ne peut généralement pas nier les origines en art visuel de Papaioannou dans les choix scénique qu’il propose, The Great Tamer est parsemé de références créatives; une véritable visite au musée.

À la suite de l’idée d’appropriation culturelle, jamais retournée envers la source d’acculturation mondiale, la culture américaine, la polarisation du débat public autour du sexe et de la race donne lieu à des situations ridicules. Un exemple éloquent est survenu en Islande, rapporte Reykjavik Grapevine le 21 janvier.