Les républicains écrivent entre autres que l’efficacité des masques, de l’obligation vaccinale, de la distanciation sociale, des fermetures d’écoles et des confinements, n’aurait jamais été prouvée. Or, comme de nombreuses études l’ont rappelé, il est impossible d’évaluer une par une l’efficacité de ces mesures, puisqu’elles ont souvent été en vigueur en même temps.
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Lors de la défaite de Donald Trump contre Joe Biden, à peine 21% des partisans du Grand Old Party estimaient que le processus avait été bien géré. Cette fois, ils sont 93% à penser la même chose.
Signe des temps et de la profondeur du fossé séparant les bleus des rouges, les démocrates des républicains, seulement 14% des personnes interrogées s’attendent à ce que les relations entre les deux partis, à Washington, s’améliorent au cours des quatre prochaines années.
Si on ne peut pas affirmer qu’il s’agit d’un retour de la confiance, c’est néanmoins un changement « par rapport aux déclins » que « nous avions vus pendant la pandémie », résume dans le communiqué le chercheur principal, Alec Tyson.
Au dire des auteurs des travaux, cette polarisation est « devenue partie intégrante » de la société américaine, potentiellement en raison d’une exposition à de multiples campagnes électorales au fil des décennies.
Données à l’appui, les spécialistes du Pew Research Center soutiennent que plus d’une majorité d’Américains souhaitent la fin de cette méthode électorale, et ce, depuis bientôt un quart de siècle. En fait, avec 63% d’appuis en 2024, cette mise au ban est à peine un peu plus populaire qu’en 2000, où 61% des participants favorisaient cette même solution.
Rien que dans le secteur environnemental, les recommandations de Project 2025 incluent le démantèlement partiel de l’Agence de protection de l’environnement, de la plupart des politiques environnementales actuelles et des politiques chapeautant la transition vers les énergies vertes.
War Game est intéressant, en plus de nous rappeler que nos voisins du Sud, avec leurs profondes divisions politiques, ne sont pas à l’abri de nouveaux débordements. Mais ceux qui s’y plongeront pour y trouver une simulation stressante et enlevante du début à la fin seront malheureusement déçus.
L’insistance des élus républicains à voter une loi sur quelque chose qui n’existe pas, voire quelque chose qui jongle avec les pseudosciences, a poussé un élu démocrate à proposer à la blague un amendement à la loi, qui protégerait le Tennessee contre le yéti et le Bigfoot.
Toutefois, être favorable à l’arrivée d’un troisième, quatrième ou cinquième parti politique ne veut pas dire que l’on soit prêt à voter pour un candidat à la présidence provenant de ces nouvelles forces.