Même des plateformes créées spécifiquement dans le but de les « protéger », comme YouTube Kids, ont été envahies depuis des années par des contenus « toxiques » et de la désinformation.
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Ce n’est évidemment pas la seule étude qui, ces dernières années, a montré que la plupart des gens ont souvent du mal à distinguer le fait de l’opinion. Mais elle rappelle que souvent, le fond du problème n’est pas seulement que les gens sont en désaccord sur des faits, mais qu’ils sont même en désaccord sur ce qui constitue un fait.
Côté technique, il n’y rien à reprocher à Salle de nouvelles; en fait, la scénographie est excellente, avec une grande utilisation de caméras vidéo, justement. Mais du côté des dialogues, on se demande pourquoi on nous propose cette incompréhensible fusion de thèmes et d’époques incomplets et incompatibles.
Une majorité de participants (56 %) croient que les États-Unis sont incapables de résoudre les problèmes d’envergure. Il y a un an, pourtant, cette tendance était inversée, et 57 % des personnes interrogées étaient plutôt d’avis contraire.
L’approche adoptée par l’auteur est franchement intéressante, et suscite plusieurs questionnements touchant notamment les médias et la politique.
Entre informations trompeuses et opinions, le dialogue est parfois difficiles avec certains individus réfractaires aux consignes de la santé publique.
Comme on le sait déjà, pour une bonne partie de la population, distinguer les faits des opinions dans un texte peut s’avérer difficile. Une recherche vient d’ajouter à cela que c’est aussi un obstacle à une vérification des faits efficace.
Défié par certains, nié par d’autres, le consensus scientifique demeure le rempart collectif pour contrer la désinformation et répondre aux sceptiques et complotistes. En parler est dans l’air du temps en raison de la COVID-19 et de la litanie d’opinions relayées dans les médias: les uns déplorent l’absence de ce consensus tandis que les autres l’invoquent pour expliquer la situation. Le Détecteur de rumeurs propose de remettre les pendules à l’heure.
De tous les pays du monde, ce sont les États-Unis qui ont le moins bien géré la pandémie de COVID-19, révèle un nouveau sondage international effectué par le Pew Research Center. Le rapport de ce coup de sonde planétaire est publié la même journée où l’administration Trump franchit la barre des 200 000 morts des suites de la maladie.
L’une des conséquences de l’accroissement du volume d’informations accessibles est le fait que la proportion d’entre elles qui peuvent être absorbées diminue. Une personne se retrouvera donc avec une mince tranche d’informations et d’opinions, et devient donc plus vulnérable face à la désinformation et risque de polariser davantage ses opinions. Pour en finir avec cette tendance, des experts en informatique affirment qu’il est nécessaire de développer de nouveaux algorithmes pour élargir nos horizons.