L’OSM nous gâtait, en cette riche fin de saison, avec l’une des œuvres les plus poignantes du répertoire liturgique, le requiem de Verdi.
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L’heure était à la promenade dans les rues chargées d’histoire de Prague, jeudi dernier à la Maison symphonique, alors que l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM) présentait un programme réunissant Mozart et Dvorak autour de morceaux évoquant la capitale de la République tchèque.
Une plongée au cœur de la poésie et de la musique pour une meilleure compréhension de la mythologie et pour aider à comprendre le sens que Richard Wagner entendait donner à l’Œuvre d’art totale.
L’orchestre baroque Arion a une nouvelle amie en la personne d’Amandine Beyer. En effet, pour le troisième concert de la série montréalaise de l’orchestre, Claire Guimond, la directrice artistique a invité la violoniste et professeure française Amandine Beyer qui restera certainement dans la mémoire des habitués d’Arion. La chef invitée Beyer est non seulement sympathique, férue d’histoire de la musique et virtuose, mais elle est avant tout une véritable interprète.
La blague est facile; après tout, la symphonie Pathétique de Tchaïkovski était après tout au programme de ce concert de l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM) donné mercredi et jeudi en sa salle traditionnelle de la Maison symphonique.
Les mélomanes montréalais peuvent se targuer d’avoir assisté à l’un des plus brillants exploits de leur orchestre symphonique, qui livra une performance d’une rare élégance mardi soir.
Le 24 novembre dernier, à la Basilique Notre-Dame de Montréal, l’Orchestre baroque Arion présentait le deuxième concert de sa série montréalaise, dans le cadre du Festival Bach. Ce concert avait pour titre, Réjouissances et présentait les œuvres suivantes:
Le 19 août dernier, un spectacle symphonique de grande ampleur réunissait plus de 400 musiciens et des vedettes, en voulez-vous, en voilà. L’Orchestre symphonique de McGill, l’Orchestre métropolitain et l’Orchestre symphonique de Montréal, ont interprété les arrangements de Simon Leclerc, sous sa direction, et ont accompagné une multitude de grands noms tels que Daniel Bélanger, Alain Lefèvre, Rufus Wainwright, Diane Dufresne, Elisapie, Cœur de pirate, Patrick Watson et Marie-Josée Lord.
La documentariste d’origine danoise, Eva Mulvad a pris quatre ans pour dresser le portrait du soliste d’origine norvégienne, Charlie Siem. A Modern Man (2017) présenté aux Rencontres Internationales du documentaire de Montréal (RIDM) tourne moins autour de la représentation de ce violoniste qui aspire à figurer parmi les plus talentueux au monde qu’à sa remise en question d’un dilemme existentiel : être reconnu par ses pairs ou devenir populaire.
L’orchestre Mariinsky arrivait tout droit de Saint-Pétersbourg samedi soir dernier à la Maison symphonique, et ce serait un euphémisme que d’affirmer que le public montréalais les attendait de pied ferme. À l’occasion de ce concert hors-série, l’OSM prenait une pause afin de céder les planches à cet orchestre mythique de l’histoire de la musique moderne.