Vendredi soir dernier avait lieu la première de l’opéra de Donizetti, Lucia di Lammermoore, une production de l’Opéra de Montréal, dans une mise en scène de Michael Cavanagh (Aïda, Suzanna, Otello, Nixon in China). Devant les décors du regretté Robert O’Hearn, et sous les éclairages d’Anne-Catherine Simard-Deraspe, c’est Fabrizio Ventura qui était dans la fosse, aux commandes de l’Orchestre Métropolitain.
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Au programme de l’OSM pour ce début du mois de novembre, ce sont trois œuvres du milieu du XXe siècle qui ont été sélectionnées, dont une qui met l’alto à l’honneur. Relativement rares sont les compositeurs ayant écrit des concertos pour alto et orchestre. Le Britannique William Walton est de ceux-là. Et c’est à l’incroyable altiste Antoine Tamestit qu’il revient d’en être l’interprète.
Vendredi soir était soir de première, à la Maison symphonique de Montréal. En effet, le spectacle présenté était la première coproduction de l’Opéra de Montréal avec l’Orchestre métropolitain. C’était aussi la toute première fois que le chef Yannick Nézet-Séguin dirigeait le seul opéra écrit par Ludwig van Beethoven: Fidelio. Celui-ci était présenté en version concert, ce qui explique le choix de la Maison symphonique. Cela limitait le nombre de spectateurs, mais permettait aussi de bénéficier d’une acoustique supérieure.
Chez Analekta, on doit se réjouir d’avoir signé avec le pianiste Charles Richard-Hamelin. En effet, les enregistrements s’enchaînent depuis le début cette association: ils sont déjà au nombre de cinq, dont trois entièrement consacrés à Chopin. C’est le cas du plus récent opus du déjà célèbre interprète. On le sait, Richard-Hamelin n’excelle pas que dans le répertoire du grand Frédéric mais on a là un terroir très riche et très apprécié, surtout lorsque l’interprète amène un touche personnelle.
Mardi soir dernier, à la Maison symphonique de Montréal, l’Orchestre symphonique de Montréal lançait sa 86e saison, avec à sa barre pour une dernière année, maestro Kent Nagano. Devant une salle comble, l’OSM n’a pas fait mentir sa réputation d’orchestre de calibre international.
Samedi dernier, à l’église St-Jean-Baptiste, à Montréal, l’Orchestre à vent non identifié a fait salle comble avec son programme autour de la musique des films de la série Harry Potter. Pour l’occasion, le directeur musical Jonathan Dagenais s’était adjoint les services du chœur de St-Laurent pour la deuxième partie du programme.
Il n’y avait rien d’habituel lors de la première soirée de la série de concerts de l’OSM qui débutait le 15 mai dernier. Tout d’abord, nous devions entendre le pianiste russe Daniil Trifonov – soit l’un des plus brillants jeunes artistes de sa génération – interpréter le troisième concerto de Rachmaninov. D’autre part, nous retrouvions pour la première fois la jeune chef d’orchestre Karina Canellakis à la direction de l’orchestre.
Le 3 mai dernier, à la Salle Bourgie du Musée des beaux arts de Montréal, l’Orchestre baroque Arion clôturait sa 38e saison montréalaise. Intitulé Musica notturna, le programme incluait des oeuvres créées sur un horizon de plus d’une centaine d’années, de Biber à Mozart, en passant par Vivaldi, Barsanti et Boccherini. Enrico Onofri était le soliste et chef invité. Armé de son violon, il a encore une fois mené à bon port l’orchestre qui commence à bien le connaître, puisque c’est sa quatrième collaboration avec Arion.
Ce jeudi 2 mai, Kent Nagano, le directeur musical de l’Orchestre symphonique de Montréal, et André Robitaille, le porte-parole de l’été 2019 à l’OSM, ont dévoilé la programmation de La Virée classique. Cette 8e édition du festival se tiendra du 7 au 11 août 2019 et proposera une trentaine de concerts pour mélomanes de tous âges.
La semaine dernière, l’Orchestre symphonique de Montréal présentait les Rendez-vous Mozart, une programmation prestigieuse avec des invités de renommée variée, répartie sur quatre jours. Pour clore ces rendez-vous, ce vendredi, le chef invité Hervé Niquet était à la barre de l’OSM et de son chœur. Le programme était simple, mais prometteur: la Symphonie no 41 en do majeur K. 551 « Jupiter » et le Requiem en ré mineur K. 626.