Pour conclure la série Violons et cordes du Festival Orford Musique, les organisateurs ont eu l’excellente idée de réunir sur scène deux figures montantes de la musique classique: Stéphane Tétreault, violoncelle et Paul Huang, violon. Cette rencontre nécessaire avait lieu le 5 août dernier à la salle Gilles-Lefebvre, sur le toujours invitant site du Parc Orford. On y présentait donc deux duos pour violon et violoncelle et un trio avec piano, pour lequel la pianiste Katherine Chi se joignait aux deux autres.
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C’est vendredi soir, à la Chapelle Notre-Dame-de-Bonsecours, que la mouture 2017 de l’Orchestre de la Francophonie donnait son ultime concert. Dans un véritable four, chauffé à plus de 30 degrés, les jeunes musiciens ont eu l’occasion de montrer l’ampleur de leurs talents dans un programme concocté à la dernière minute et pour lequel ils n’ont eu que très peu de temps pour répéter.
Ce samedi, le Domaine Forget, dans le cadre de son festival international, recevait la visite attendue du violoniste canadien James Ehnes et de l’Orchestre de la Francophonie (OF), sous la direction de Simon Rivard.
À l’occasion de sa 39e édition, le Festival international du Domaine Forget et son ambassadrice Marie-Nicole Lemieux prévoient nous en mettre non seulement plein les oreilles, mais aussi plein la vue et plein le goût.
Le public de la Maison symphonique a été englouti sous une avalanche de notes mercredi soir dans le cadre d’un récital attendu du pianiste québécois Louis Lortie. Ainsi pourrait-on succinctement résumer ce concert-spectacle durant lequel le prodigieux pianiste, reconnu internationalement pour ses interprétations de l’œuvre de Chopin, nous aura tenus en haleine durant plus de deux heures.
Après avoir offert l’Œuvre pour cuivres de Gabriele aux mélomanes invités, le Maestro Kent Nagano et la direction de l’OSM ont dévoilé une programmation transcendante pour leur prochaine saison lors d’une conférence de presse à la Maison symphonique de Montréal mercredi dernier.
En ce dimanche après-midi frisquet, c’est à une courte rencontre que Karin Kei Nagano conviait le public montréalais, le 12 mars dernier à la Salle Bourgie, dans le cadre du Festival Montréal en lumière. En effet, en tout et pour tout, l’exécution des œuvres inscrites au programme n’a duré qu’une cinquantaine de minutes.
L’heure était aux expérimentations musicales à la Maison symphonique, alors que le violoniste bien connu Joshua Bell était de passage à Montréal pour non seulement tirer de superbes notes d’un Stradivarius vieux de plusieurs siècles, mais aussi pour jouer – partiellement – le rôle de chef d’orchestre.
Ce 12 février, à la Maison symphonique de Montréal, dans le cadre de la série Les dimanches en musique, l’Orchestre symphonique de Montréal recevait la visite de la violoniste Midori et la visite surprise du chef James Feddeck, qui remplaçait au pied levé le maestro Jeffrey Tate, incommodé par des ennuis de santé.
Vendredi soir dernier, la Maison symphonique accueillait l’Orchestre métropolitain pour une prestation aux accents résolument britanniques. Sous la main de maître d’un impétueux Alexandre Bloch en grande forme, l’Orchestre a transporté le public au début du 20e siècle, en alliant la Downton Abbey Suite de la série éponyme, composée par John Lunn, au Concerto pour violon de Sir William Waton et à la Symphonie no 1 de Sir Edward Elgar. Un mélange aussi rafraîchissant que charmant, que la virtuosité de Jonathan Crow dans le Concerto de Walton ne vient que rehausser d’une touche presque euphorique.