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Réalité et fiction: c’est le titre du plus récent programme double de Tangente, qui était présenté à l’édifice Wilder jusqu’au 25 février 2018. Proposant deux duos qui donnent corps à la matière de manière à la fois physique et intellectuelle, ce programme met également l’accent sur la relation de l’être avec l’espace visible et invisible.

Avec sa deuxième proposition à Montréal pour cette année, le Cirque du Soleil prouve plus que jamais qu’il a envie de se réinventer, tout en ne perdant pas ce qui fait la magie et la réussite de son univers. Loin d’être réservée dans ses ambitions, l’entreprise originaire de chez-nous aborde pour la première fois le monde de glace et met ses patins pour nous en mettre plein la vue.

Curieux titre, Le Jour se lèv(r)e. Curieux spectacle aussi, que le public décortiquera l’œil questionneur, tout au long de la performance de Sylvie Cotton. Dans cette courte œuvre présentée à l’Agora de la danse jusqu’au 5 octobre, l’artiste plasticienne dévoile le souffle qui l’habite.

Une heure en compagnie d’Anne Plamondon seule en scène, c’est presque du luxe tant c’est un plaisir de la voir articuler son corps sous nos yeux. Si l’aspect dramaturgique est difficile à saisir – mais c’est rarement ce qui nous mène à la danse contemporaine – la recherche sur le mouvement est fort bien menée.

L’heure était à la danse, lundi soir, alors que le spectaculaire (et actuellement incomplet) édifice Wilder accueillait Faille et Phase 3, deux oeuvres portant sur la combinaison corps et machine présentées dans la cadre du festival OFFTA.

La chorégraphe flamande Anne Teresa De Keersmaeker, figure marquante de la danse contemporaine, revient à Montréal, cette fois-ci pour présenter au public montréalais Rain, une des oeuvres majeures du répertoire de sa compagnie Rosas. Quinze ans après sa création en 2001, l’oeuvre a repris la route, maintenant portée par un groupe de 10 jeunes interprètes.

C’est en ce 8 mars, journée mondiale de la Femme, qu’a lieu la première de Mille Batailles à l’Usine C. On est heureux d’accueillir le travail de la danseuse et chorégraphe Louise Lecavalier qui, avec son style si singulier et affirmé, a grandement contribué au rayonnement international de la danse montréalaise depuis les trente dernières années.

L’Agora de la danse entame son second quart de siècle d’existence dans un nouvel espace au cœur de la Place des Festivals, un espace que le milieu de la danse attend depuis quelques années, l’édifice Wilder. Toujours en chantier, l’édifice est déjà habité depuis un mois par les danseurs de l’École de danse contemporaine de Montréal. Il accueillera également le diffuseur de danse contemporaine Tangente et, un peu plus tard, les Grands Ballets Canadiens. La compagnie MAYDAY, qui célébrait récemment son dixième anniversaire, a l’honneur d’ouvrir cette nouvelle saison de l’Agora de la danse et par le fait même de signer le premier spectacle du Wilder, Animal triste.

Les fans de la compagnie Virginie Brunelle attendaient avec impatience À la douleur que j’ai, sa plus récente création chorégraphique. Une série de teasers, dévoilés un à un sur la page Facebook de la compagnie pour nous faire languir depuis plus d’un mois, a été créée en collaboration avec le vidéaste Robin P. Gould.