L’Usine C accueille, pour une dernière journée, vendredi, le nouveau spectacle du danseur et chorégraphe Frédérick Gravel. L’oeuvre en question, Fear and Greed, est le premier spectacle solo du créateur. Rencontre.
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Daina Ashbee est une femme occupée. La chorégraphe et interprète cumule les prix, les spectacles et les créations. Son spectacle Pour, présenté à l’Agora de la danse jusqu’au 3 mai, revient à Montréal, trois ans après une première présentation à La Chapelle. Rencontre avec la créatrice.
Deux univers aquatiques et un brin futuristes nous attendaient la semaine dernière à l’espace danse de l’édifice Wilder. Présenté par Tangente, le programme double opposant la pièce Look de Bailey Eng à Breach d’Alexandre Morin navigue dans les eaux troubles d’un monde où l’urgence d’agir se fait sentir.
La prémisse est vieille comme le monde: une histoire impossible, des amants transis, des fatalités et des tragédies.
La fébrilité était au rendez-vous à la salle Wilfrid-Pelletier – comble, pour l’occasion – à la première mondiale du dernier opus de Cathy Marston, L’Amant de Lady Chatterley, interprété par les Grands Ballets canadiens de Montréal.
Avec 13, un ludodrame sur Walter Benjamin projeté à la Cinémathèque québécoise, le cinéaste montréalais d’origine péruvienne Carlos Ferrand raconte l’exil à Paris de 1933 à 1940 de ce philosophe, historien de l’art et traducteur allemand. Alors que l’artiste multidisciplinaire montréalaise originaire de Berlin, Bettina Hoffmann présente Chorégraphie de mouvements derrière la vitrine du Goethe-Institut.
À l’Agora de la danse, il est possible, pendant trois jours, d’être le danseur/ la danseuse d’une pièce chorégraphique. On vous recommande vivement d’aller jouer!
Bonne nouvelle: le « mouvement » des gens qui croient que la Terre est plate n’est peut-être pas en croissance. Ainsi, il est faux d’affirmer que le tiers des milléniaux adhèrent à cette croyance. Seulement 2% sont fermement dans ce camp… quoique 16% semblent être dans le camp des indécis.
Programme double qui explore les confins du vécu humain, Poussière & Fumée réunit deux œuvres performatives qui osent s’approprier autrement l’art de la danse et de l’exécution scénique.
Comment décrire Liminality, cette œuvre multidisciplinaire présentée dans la Satosphère, le dôme de la Société des Arts technologiques, dans le cadre du Festival international du film sur l’art (FIFA)? Captivant, unique en son genre, Liminality offre une expérience multisensorielle et quasi spirituelle.