« Les études démontrent de façon constante qu’il existe un nombre trop élevé de commotions qui ne sont pas volontairement signalées par les athlètes, que ce soit parce qu’ils ne réalisent pas qu’ils en ont subi une, ou parce que, dans le feu de l’action, ils ne souhaitent pas quitter un match. »
« À mesure que les ingénieurs adaptent les principes d’intégration du monde biologique, les robots coureurs devront aussi efficaces, agiles et robustes que leurs équivalents vivants. »
Entre affolement et quête de stabilité, Stations reflète ce que l’ayurvéda évoque le dosha « Vata » : des éléments d’air et de mouvement. Une mouvance du corps et de l’esprit au gré du vent de la vie.
Fruit d’une rencontre entre différents savoirs, Libya est une co-création embrassant plusieurs facettes d’un patrimoine festif, coloré, lucide, dans lequel le passé, le présent et le futur sont entrelacés.
Avec ses 12 danseurs virtuoses, le spectacle est construit selon différents tableaux où la danse rivalise avec la théâtralité. Les artistes ne prononcent pas de mots mais ils sont remplacés par les sons de leurs corps qui s’entrechoquent, ceux de leurs souffles, de leurs cœurs ou de leurs cris.
Du coup, c’est du grand art, risqué et très difficile à tenir, entre burlesque et performances incroyablement maîtrisées.
Ces données, écrivent les chercheurs, sont en phase avec ce que prévoient les modèles climatiques — c’est-à-dire qu’elles correspondent à ce à quoi on est en droit de s’attendre quand on recherche « l’empreinte » de l’action humaine sur ces courants océaniques.
Enora Rivière propose une oeuvre mystérieuse, à la fois simple et complexe, qui suscite presque davantage de question qu’elle n’en offre de réponses.
« Nous sommes faits en viande, nous allons mourir, nous avons des désirs et des envies. Et cela va des envies de manger à avoir envie de faire l’amour avec n’importe qui. »
Andrew Turner propose 18 façons de se mouvoir, d’être, d’exister.
