L’été dernier, le comté de Maricopa comptait 117 lieux d’accueil climatisés (bibliothèques, centres communautaires, etc.), mais aucun n’était ouvert toute la nuit, en dépit de températures qui, à certains moments, ne descendaient pas sous les 30 degrés. Peu de ces lieux étaient ouverts les dimanches. Et la plupart refusaient les chiens et les chats.
Browsing: mort
Même en vertu du plus faible scénario d’émissions, d’ici 2060, on comptera 24% plus de journées de vagues de chaleur extrême, ainsi que près de 600 000 décès supplémentaires attribuables à la chaleur, alors qu’en vertu du pire scénario, on parlerait plutôt de 50% de journées de chaleur extrême et jusqu’à 1,2 million de morts.
Si Larry Tremblay souhaitait explorer les thèmes de la vieillesse, de la perte de mémoire, de l’approche de la mort ou toute autre question qu’il est normal de se poser au crépuscule de sa vie, la tentative est ratée.
En théorie, un pays pourrait règlementer l’usage des données personnelles d’une personne après son décès. Mais en l’absence d’interdit, l’état actuel de la technologie n’est pas si loin de pouvoir permettre cette « expérience ».
Anaïs Elboujdaïni répond aux questions de Hugo Prévost sur l’objectivité en temps de conflit, le journalisme de guerre et sur le fait de se retrouver plongée, au hasard, dans la violence et la mort.
Des problèmes de visibilité non liés à la météo, comme le fait que le piéton portait des vêtements sombres, ou était caché par un élément du décor, ont été évoqués comme ayant joué un rôle dans un accident mortel dans 17 % des cas.
Hugo Prévost et Kevin Laforest s’intéressent à ce film complexe et puissant qui s’est mérité rien de moins que la Palme d’or 2023.
Bien que les modèles diffèrent, il est très probable qu’à l’échelle mondiale, les chiffres de la mortalité liée à la COVID-19 aient été grandement sous-estimés.
« Plusieurs de ces décès pourraient être empêchés par un meilleur accès à de la climatisation, à des endroits sécuritaires ou à de l’hydratation, par des travailleurs qui donneraient l’information sur la santé ou par des gens qui garderaient un oeil sur les plus vulnérables. »
Une bonne partie des interprétations, résume le Scientific American, relèvent de l’hypothèse. Le cerveau reste une « machine » dont on ignore encore une bonne partie du fonctionnement.