Did you know I am an avid comic book fan and cinephile? Oh you did… okay. So then you should understand how blessed I am to see Avengers: Infinity War movie come to fruition. A decade long journey has come finally exploded its way to the big screen and right into my fanboy heart. Though the movie is obviously flawed, I cannot help not enjoy it. I am beyond satisfied. I was honest to Thanos moved.
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Bien qu’on ait l’impression que Marvel a envahi tous les écrans depuis des siècles, le Marvel Cinematic Universe s’est imposé il y a seulement une décennie. C’est donc après un nombre impressionnant de films, de succès et de profits que la franchise arrive finalement à terme (ou presque) de sa première grande histoire, tentant tant bien que mal de justifier que tout le périple en aura valu la chandelle.
A lot has happened in the last decade. For starters, I had way more hair, Facebook was in the news for less nefarious reasons, and I was just still living with my parents. Let’s see….What else…. Oh yes. A trenchcoat clad Samuel L. Jackson said two simple words: “Avenger’s Initiative”. Does anyone remember how they felt when they heard those two words? I do, and they were magical and promising. My young brain couldn’t imagine the effect they would have.
Black Panther is such a different beast than the other movies in the Marvel cinematic universe. I went in expecting an experience like the Captain America sequels, but I was mistaken. It happens.
Encensé déjà comme le messie de la représentation afro-américaine dans la culture hollywoodienne, il devient risqué de vouloir critiquer objectivement une telle œuvre sans tomber ouvertement dans un débat de races déloyal. Néanmoins, si l’expérience n’en demeure pas moins décoiffante, force est d’admettre que Black Panther tourne rapidement en rond en plus de ressasser certains replis qui font franchement sourciller.
Qu’on le veuille ou non, les films adaptés des superhéros de Marvel n’ont jamais été reconnus pour leur originalité, mais davantage pour leur efficacité, surtout face au moule que Disney leur a fait répéter ad nauseam au fil des multiples épisodes de l’univers qui se succèdent plusieurs fois par année. Quelle surprise alors d’y voir un cinéaste au style singulier réussir avec insistance à y insuffler son propre aura dans ce qui pourrait bien être la proposition la plus déjantée de tout le Marvel Cinematic Universe jusqu’à maintenant.
Vilipendé à cause des attentes que son volet précédent a avec surprise créées, Guardians of the Galaxy Vol. 2 n’a probablement pas autant satisfait que tous s’y attendait. Néanmoins, le plus récent Marvel à être disponible en DVD, à défaut d’être trop long, s’avère être un blockbuster survitaminé qui divertit à défaut d’abuser sur le plan émotionnel, un petit ajout au premier film dont on n’avait pas nécessairement besoin.
A blind devil, a man with diamond skin, a powerhouse snarker, and an idealist infused with positive energy all walk into a bar. The bar is destroyed, alliances are reluctantly made, and no one has the fun of a hangover.
With great power comes great responsibility. We all heard this in one way or another, whether it was from the dozens of cartoons, the handful of movies, and thousands of comics. This phrase cannot have more meaning than with the creation of this movie. When you mix an iconic character with two powerhouse movie studios, you can get a disastrous result. Who knew that we’d end up with a wonderful Spider-Man movie?
Disney Marvel veut les droits de Spider-Man depuis tellement longtemps déjà que maintenant qu’ils se sont enfin approprié le butin des mains de Sony, ils ont couru plus vite que leur ombre pour livrer un film qui anticipe le plaisir avant même d’avoir laissé le temps au spectateur de le ressentir. Après tout, quand ton film de superhéros débute avec la genèse de ton vilain de service, disons que cela en dit long sur là où résident les forces de ton entreprise.