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L’orchestre Mariinsky arrivait tout droit de Saint-Pétersbourg samedi soir dernier à la Maison symphonique, et ce serait un euphémisme que d’affirmer que le public montréalais les attendait de pied ferme. À l’occasion de ce concert hors-série, l’OSM prenait une pause afin de céder les planches à cet orchestre mythique de l’histoire de la musique moderne.

La formation montréalaise Half Moon Run se produisait mardi à la Maison symphonique pour un concert à guichet – très – fermé dans le cadre des séries OSM Pop. Cette série de concerts reprend le répertoire d’artistes influents du monde de la pop et marie leur répertoire avec une réinterprétation classique de l’orchestre symphonique.

Fantastique ouverture de saison, mardi soir à la Maison symphonique, alors que l’Orchestre symphonique de Montréal donnait, pour entamer sa 84e année de programmation, la célèbre symphonie « Des mille » de Gustav Mahler.

À l’occasion du 375e anniversaire de la Ville de Montréal, est né le Festival d’orgue de Montréal, en collaboration avec l’American Guild of Organists, le Collège royal canadien des organistes et le Concours international d’orgue du Canada. Les organisateurs nous annoncent ainsi le plus grand rassemblement d’organistes qu’on ait vu d’un océan à l’autre.

Samedi soir dernier, à la Maison symphonique, les Violons du Roy et La Chapelle de Québec présentaient le demi-opéra Le roi Arthur d’Henry Purcell. Sous la direction du fondateur des Violons du Roy, Bernard Labadie, les solistes invités étaient Anna Prohaska, soprano; Daniel Moody, contre-ténor; Andrew Staples, ténor; Tyler Duncan, baryton.

Ce 12 février, à la Maison symphonique de Montréal, dans le cadre de la série Les dimanches en musique, l’Orchestre symphonique de Montréal recevait la visite de la violoniste Midori et la visite surprise du chef James Feddeck, qui remplaçait au pied levé le maestro Jeffrey Tate, incommodé par des ennuis de santé.

Vendredi soir dernier, la Maison symphonique accueillait l’Orchestre métropolitain pour une prestation aux accents résolument britanniques. Sous la main de maître d’un impétueux Alexandre Bloch en grande forme, l’Orchestre a transporté le public au début du 20e siècle, en alliant la Downton Abbey Suite de la série éponyme, composée par John Lunn, au Concerto pour violon de Sir William Waton et à la Symphonie no 1 de Sir Edward Elgar. Un mélange aussi rafraîchissant que charmant, que la virtuosité de Jonathan Crow dans le Concerto de Walton ne vient que rehausser d’une touche presque euphorique.

Matsuev est un habitué de l’OSM. On l’aura aperçu à quelques reprises sur les planches de la Maison symphonique ces dernières années, défendant la culture russe avec fougue et prestance. Hier soir ne faisait pas exception, car le pianiste émérite nous livra le sublime Concerto No. 2 de Prokofiev.

Soirées d’amours incomprises et ultimement vouées à une fin glauque et sanglante, la semaine dernière à la Maison symphonique, alors que l’on donnait une série de morceaux choisis de Roméo et Juliette, de Prokofiev.