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Michael Moore est désespéré. Du moins, c’est l’impression qu’on retire de Fahrenheit 11/9, le plus récent documentaire du coloré réalisateur. Articulé autour de Trump et des dérives du système politique américain, le film réussit quelques touches, sans atteindre les sommets de Bowling for Columbine et Fahrenheit 9/11.

Comme s’il manquait de controverses, le président Trump a choisi d’en déclencher une sur les incendies qui font rage en Californie: ceux-ci seraient, selon lui, causés par les rivières californiennes « détournées » vers l’océan Pacifique. 

Surprise: un scientifique proposé par Trump à un poste nécessitant un scientifique a obtenu de bons commentaires. Il faut dire qu’on attendait cette nomination depuis 19 mois.

La nouvelle politique des océans américaine élimine de son plan d’action la question du climat et celle de la conservation marine, mise en place par l’administration Obama. Place au travail et à la sécurité nationale, préconise l’administration du président Donald Trump avec l’adoption d’une ordonnance qui révoque cette politique mise en place en 2010.

Le 22 mai 2017, une crevasse apparaissait en face de Mar-a-Lago, la résidence de Floride de Donald Trump. Le 22 mai 2018, une crevasse était signalée sur la pelouse de la Maison-Blanche. La Terre essaie-t-elle d’envoyer un message?

Dans la foulée du mouvement #MeToo, la stagiaire qui a eu des relations sexuelles avec le président Bill Clinton il y a 20 ans, Monica Lewinsky a affirmé dans les pages du magazine Vanity Fair qu’il y a eu «abus de pouvoir». Une révélation qui éveille son lot de nostalgie envers les années 1990, pendant lesquelles le pouvoir américain a forgé le droit de la guerre.

Le « test de Montréal » qu’a récemment réussi Donald Trump peut rassurer certaines personnes, mais il ne répond pas aux questions de ses principaux critiques: c’est un test destiné uniquement à détecter les premiers signes de maladies comme l’Alzheimer, et non à évaluer la santé mentale d’une personne.

« Je ne m’abaisserai pas à de telles frivolités. » Voilà ce qu’a lancé mercredi le secrétaire d’État américain Rex Tillerson. Le chef de la diplomatie américaine avait convoqué la presse à la dernière minute à la Maison-Blanche, sans ajouter l’événement à l’horaire officiel, alimentant les rumeurs sur une possible démission.