Ce qui rend cette lecture inoubliable, ce sont les instants immersifs et les ambiances évocatrices qui fusionnent harmonieusement réalité et fiction.
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Au final, un récit tout de même divertissant, mais émaillé de trop de clichés pour offrir quelque nouveauté aux lecteurs de polars avertis.
Il s’agit peut-être d’un premier roman, mais il est clair que Marie-Hélène Sarrasin a des lettres. En effet, par son goût de la fantaisie et de la légende elle emprunte délicatement mais sûrement à Jacques Ferron et à Michel Tremblay.
Y a-t-il un espoir pour cette belle Istanbul? Et si celle-ci reposait dans l’Art?
L’auteur s’est dit souvent à lui-même qu’il était temps qu’il arrête d’écrire, s’étonne d’être encore publié, mais triture toujours sa tablette et ses écrits se retrouvent encore sur les… tablettes. Heureusement pour nous!
Que cela soit une bonne ou une mauvaise chose, il est certain que Gran Talen continue à tracer sa voie dans l’étrange monde de la satire, de l’humour décalé et de la parodie grinçante.
Le Trille du Diable fait partie de ces romans que l’on n’oublie pas. D’une brutalité et d’une justesse sans égale, et qui vaut clairement le détour.
Au-delà du papier est peut-être une oeuvre à la structure parfois chancelante, voire légèrement bordélique, mais on y voyage comme on voyage entre des piles de livres, justement, chez notre libraire préféré. Il ne manque, ultimement, que cette légère odeur de vieux papier.
Sommes-nous en présence d’une Madame Bovary moderne? Peut-être pas. Mais brasser quelques idées reçues au milieu du conformisme ambiant, c’est parfois rafraîchissant, sans nécessairement offrir un récit qui nous tienne en haleine.
Pour un premier roman, La chienne de Pavlov est l’équivalent d’un cri lancé dans la nuit, d’un poing brandi face au ciel, histoire de prendre sa revanche sur l’adversité, la masculinité toxique, la misogynie, la discrimination… et la mocheté de la vie en général.