Coincée dans une relation mère-fille qui l’étouffe, Chloé prend la poudre d’escampette aux États-Unis. Dans une oeuvre puissante et percutante présentée sur les planches du Théâtre La Licorne, cette adolescente qui deviendra une jeune femme découvre un monde peuplé d’êtres Invisibles, oubliés de tous.
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Dans une petite chambre de Berlin, une jeune femme vit ses années de jeunesse. Et qui dit jeunesse, dit bien souvent découverte de son corps, de sa sexualité. Dans une pièce écrite et interprétée par Sylvianne Rivest-Beauséjour et donnée à la Petite Licorne, le public suit donc pas à pas le maelström émotif et charnel de ce périple berlinois.
La nouvelle production du Théâtre Jésus, Shakespeare et Caroline, en codiffusion avec La Manufacture s’installe au Théâtre La Licorne. Il s’agit d’Os – La montagne blanche; texte et interprétation de Steve Gagnon dans une mise en scène de Denis Bernard.
L’heure est à la révolte, qu’elle soit féministe ou simplement féminine. Et pour l’auteure Catherine Léger, cette révolte passe par la pièce Filles en liberté, donnée à La Licorne.
La pièce dure 90 minutes, mais il en avait fallu bien moins que cela pour en établir l’importance, la nécessité du propos avancé, martelé dans cette pièce de l’auteure Catherine Léger. Forte de son succès, l’oeuvre Baby-Sitter reprend ainsi l’affiche à La Licorne fin juillet, avant d’entamer une tournée québécoise. Rencontre avec Isabelle Brouillette, le personnage principal de ce coup de poing théâtral.
« Fourre-là dans l’cul! » Le ton est donné dans les premières minutes de la pièce Baby-Sitter, présentée sur les planches de La Licorne. Adaptée du triste phénomène consistant à crier « Fuck her right in the pussy » en passant devant des journalistes en direct, l’oeuvre de l’auteure Catherine Léger tire à bout portant sur la misogynie et les rapports de force entre les sexes.
Sur le plateau, un jeune homme renfermé en pleine crise d’adolescence voue une étrange admiration aux morts-vivants. Selon lui, son travailleur humanitaire de père s’intéresserait davantage à lui s’il avait l’apparence morbide d’un zombie. Et pour les spectateurs, l’histoire du Garçon au visage disparu vient de commencer.
Terminus est une pièce de l’auteur irlandais Mark O’Rowe traduite par Olivier Choinière et mise en scène par Michel Monty. Elle est présentée jusqu’au 29 octobre au Théâtre de La Licorne. Préparez-vous, cher public, à un univers avec des airs de fin du monde. Un univers où chaque personnage passe une nuit difficile, une nuit endiablée.
Une bière, un roteux et une pièce de théâtre d’une heure. Le Théâtre La Licorne plonge à l’eau avec un nouveau concept, celui d’un 5 à 7 théâtral dans sa petite salle de répétition, rue Papineau. Et au sortir de l’endroit, on se dit que l’expérience est certainement un succès.
C’est à eux que l’auteure Julie-Anne Ranger-Beauregard dédie son texte. À ceux qui se reconnaissent. Cela pourrait difficilement être plus à propos.