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 »Et puisse le sort vous être favorable! » La célèbre phrase tirée de la série Hunger Games résonne indéniablement dans la tête du joueur lorsque vient le temps de se lancer dans The Culling, un jeu de combat massivement multijoueur développé par Xaviant.

Sur l’écran, les unités ennemies, les explosions, les multiples projectiles et les traînées lumineuses émises par les débris créent un maelström multicolore. Si l’on y ajoute une trame sonore tonitruante, une histoire simple mais efficace et des contrôles qui répondent bien, on obtient Super Galaxy Squadron EX, un excellent shoot’em up récemment sorti en ligne.

« We didn’t start the fire »… Les paroles de la chanson de Billy Joel résonnent étrangement en tête alors qu’Henry, un quadragénaire aux larges épaules et aux mains de bûcheron, arpente les sentiers d’une réserve naturelle du Wyoming dans Firewatch, un jeu développé par le studio Campo Santo et édité par Panic. Le titre est disponible depuis le 9 février.

« Ce jeu tuera sans doute votre animal de compagnie ou votre ordinateur. » L’avertissement est là, donné avant même d’arriver au menu principal. Un bandeau ou des icônes rappellent également qu’Ashes of the Singularity, l’un des plus récents jeux édité par Stardock Entertainment et développé par Stardock et Oxide Games, est toujours en version test, tout comme l’indique clairement la page du titre sur Steam. Et à vue de nez, on comprend certainement pourquoi.

Dans l’univers des jeux de tir à la première personne, Outlaws, paru en 1997, occupe une place pour le moins particulière. L’un des rares, très rares exemples du genre à se dérouler dans une ambiance de Far West, la création des défunts studios LucasArts divertit, mais ne passe pas tout à fait à l’histoire.

Ah, Need For Speed! L’exemple ultime d’une franchise qui a réussi, tant bien que mal, à survivre à deux décennies de changements technologiques et culturels en demeurant (relativement) fidèle à ses racines. Et ce, sans grand trou noir où le titre se retrouve dans les limbes pendant plusieurs années.

L’an de grâce 1997. L’époque des cartes vidéo 3Dfx, des boîtiers beiges et du son compatible Sound Blaster. L’époque, aussi, de la révolution en matière de jeux de stratégie en temps réel (RTS), avec nul autre que l’increvable Total Annihilation, dont l’héritage est encore aujourd’hui fermement implanté dans le paysage vidéoludique.

L’univers est en guerre perpétuelle. Dans le sombre futur du 41e millénaire, l’humanité est engagée, sous l’égide de l’empereur immortel, dans une lutte impossible à gagner contre quantité de hordes extraterrestres. Cet univers de Warhammer 40K, popularisé sous forme de jeux de plateau et de figurines par Games Workshop, a trouvé grâce dans une forme vidéoludique, y compris dans Warhammer 40 000: Dawn of War – Dark Crusade.

Il existe deux types de gens: ceux qui regardent des vidéos sur les jeux vidéo, et ceux qui n’en regardent pas. La distinction paraît sommaire, mais le fait est qu’alors que le divertissement en ligne continue de gagner en popularité, avec la pléthore de séries web et autres capsules diffusées sur le web, certains artisans forts en verve ont décidé de prendre d’assaut l’univers numérique afin de se faire connaître… et, oui, gagner leur vie en jouant à des jeux vidéo.