Nous sommes en 2005, et la révolution se déroule dans des corridors d’entrepôt et dans les bureaux déserts d’une entreprise occupée à de sombres desseins mêlant manipulation génétique, télépathie et soldats clonés. Le nom de cette révolution? F.E.A.R., ou la preuve que l’on peut produire un excellent jeu tout en ayant un jeu de mots plus qu’ordinaire dans son titre.
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Il y a quelque chose à dire à propos de la capacité des gens de chez Ubisoft de prendre The Division 2, un jeu gâché sur le plan scénaristique, et d’en tirer l’essentiel pour proposer Warlords of New York, une expansion qui réussit non seulement à sauver les meubles, mais à offrir une expérience diversifiée, enlevante, et, disons-le, franchement agréable.
Personne n’avait vraiment vu venir les gens de chez Croteam, en 2001, lorsqu’ils ont lancé Serious Sam: The First Encounter. C’était trois ans après la bombe de Half-Life, à l’époque où les jeux de tir à la première personne étaient largement des choses structurées, avec des scénarios touffus et une progression linéaire. Débarque pourtant Sam, avec ses gros bras et ses multiples armes, qui allait tout casser.
Envoyé préparer le terrain pour la future colonisation d’une nouvelle planète, vous devrez y survivre au moins neuf jours, en attendant que votre famille ne vous y rejoigne. Le hic? Les robots envoyés avant vous se sont rebellés. La faute à cette satanée intelligence artificielle…
Une trentaine d’années après le premier Rage, jeu de tir à la première personne se déroulant dans un monde post-apocalyptique, voilà que le ranger Walker – un homme ou une femme, selon le choix du joueur – devra venger la mort de sa mentor aux mains du terrifiant général Cross, mi-homme, mi-robot, qui dirige la non moins terrifiante Autorité. Bienvenue dans Rage 2.
Les amateurs montréalais de jeux vidéo étaient conviés, la fin de semaine dernière, à découvrir ce sur quoi travaillent une partie des très nombreux studios d’ici, dans le cadre de l’édition 2019 de MEGA (Montreal Expo Gaming Arcade), événement fusionné cette année avec le MIGS, le Montreal International Gaming Summit.
Combien y a-t-il eu de jeux dans la série Call of Duty? Combien de reprises, de divergences, de nouvelles mécaniques testées lors d’une seule déclinaison de la franchise, puis abandonnées aussitôt? Entre Infinite Warfare et Black Ops IV, il y a eu WWII, un retour à la Deuxième Guerre mondiale, et un jeu compétent qui brûle cependant beaucoup trop vite les étapes et les bonnes idées.
Il y a hélas de ces excellents jeux qui passent inaperçus. Après avoir lancé Verdun, en 2015, où l’on promettait des combats à la première personne réalistes dans le contexte de la sanguinolente Première Guerre mondiale, le développeur et éditeur M2H a remis ça avec Tannenberg, cette fois situé sur le front de l’Est, lieu de combats entre les puissances centrales et la Russie tsariste.
On a l’impression qu’il est disponible en accès anticipé sur PC depuis une éternité (2012, pour être précis), et après toutes ces années, c’est enfin au tour des propriétaires de consoles de pouvoir découvrir le monde ouvert – et peuplé de zombies – de DayZ.
Prenant place en 1989 dans une version alternative de la Suède envahie par des robots meurtriers, Generation Zero propose une expérience de type bac-à-sable qui, malgré des problèmes techniques et un manque de finition, possède ses moments forts.