Starship Troopers: Extermination procure un plaisir indéniable, surtout si on y joue avec des amis, mais il est quand même étonnant que le titre se soit fait damer le pion par Helldivers 2, dont l’expérience reflète beaucoup mieux le ton parodique du film de Verhoeven.
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Audacieux, rafraîchissant et violent à souhait, Dieseldome: Oil and Blood, même en version de démonstration, est savoureux et franchement divertissant. On a bien hâte à la suite.
Si l’idée de base d’Exophobia a certainement du bon, l’exécution laisse à désirer. Surtout dans un contexte où les jeux de tir rétro se comptent par dizaines, qu’ils ressemblent à Corridor 7 (ou Wolfenstein 3D) ou non. À éviter, donc.
Le jeu n’a rien de transcendant, on s’entend, et il faudra répéter les mêmes niveaux à de nombreuses reprises pour espérer disposer de compétences suffisamment développées afin d’espérer l’emporter. Mais ces niveaux sont assez diversifiés pour rendre la chose agréable, surtout si l’on se dit qu’on est là pour se vider le cerveau, pas pour construire un empire, ou résoudre des problèmes de logistique.
Bien exécuté, bien présenté, bien accompagné par une trame sonore qui plaira aux amateurs d’électronique, Robobeat n’a rien à se reprocher. Si ce n’est, peut-être, une certaine limitation auto-imposée, sous-genre oblige.
Loin de nous offrir le plaisir sans réfléchir des bons vieux jeux de gun à l’ancienne, que nenni, on nous donne des ressources limitées, des munitions qu’on doit racheter en quantité limitée avec de l’argent qui est tout aussi rare.
Titre solide, mais surtout titre qui est appelé à continuer de gagner en qualité et en ampleur, Starship Troopers: Extermination est un jeu satisfaisant qui devrait plaire non seulement aux amateurs de tir à la première personne, mais aussi aux inconditionnels de Verhoeven. En espérant que le développement se poursuive!
Vampire Hunters a plusieurs bonnes idées. Et on se prend, peu à peu, à vouloir rapidement replonger dans l’action, une fois notre héros terrassé. Mais il est impératif que les développeurs ajustent le niveau de difficulté si l’on souhaite que l’expérience soit plus agréable, et moins éprouvante. Cet appel sera-t-il entendu?
Jeu efficace, mais jeu circulant dans des ornières vidéoludiques déjà largement creusées, Sprawl est un divertissement sympathique, sans rien révolutionner.
Proposant la même action survoltée qu’un film d’action des années 1980, Crime Boss: City Rockay est un titre ne ressemblant à rien d’autre. Si son expérience de tir à la première personne est adéquate, sans plus; c’est surtout à travers ses mécaniques de gestion d’un empire criminel que le jeu brille.