Alors que s’ouvre une conférence internationale visant la création d’une zone, au Moyen-Orient, qui serait libre d’armes nucléaires, mais aussi d’armes de destruction massive, chimiques et autres, les Nations unies appellent à tenir des « spécificités » de la région pour assurer la sécurité des populations.
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Le ton est donné: selon l’envoyé des Nations unies au Moyen-Orient, Nickolay Mladlenov, le processus de paix entre Israéliens et Palestiniens « est dans un impasse totale », et la question est si délicate qu’il existe un « risque accru de violence et d’escalade régionale ».
Il faudra plus qu’un coup de pouce économique offert aux Palestiniens pour mettre fin au conflit qui déchire le Proche-Orient depuis bientôt 75 ans, a déclaré jeudi l’envoyé des Nations unies pour le Moyen-Orient, devant le Conseil de sécurité.
Dans la liste mondiale des adolescents qui ont fait la grève pour le climat la semaine dernière, un petit groupe s’est démarqué: 500 étudiants réunis devant la Knesset, le parlement israélien… juifs et palestiniens confondus.
Le conflit israélo-palestinien, qui se poursuit depuis plus de 70 ans, ne pourra bientôt plus être « géré », et doit déboucher sur une solution permanente, ou risquer d’attiser davantage la méfiance et la souffrance, plaident les Nations unies.
La maison aux 67 langues, du dramaturge canadien Jonathan Garfinkel, le tout brillamment traduite par François Archambault, est une fable sublime et drôle sur un sujet délicat qu’on ne sait plus comment aborder.
C’est tout un défi de créer et de maintenir un suspense, dans une pièce de théâtre comme dans un récit, quand tout le monde sait comment l’histoire finit. Ce défi a été relevé haut la main par l’équipe qui joue et qui réalise Oslo, à l’affiche en ce moment et jusqu’au 13 octobre, chez Duceppe.
À travers Israël, mais surtout à travers la Cisjordanie, il est là: le mur. « Barrière de sécurité » pour les uns, « mur de ségrégation raciale » pour les autres, le ruban de béton serpentant dans les territoires palestiniens a inspiré au dramaturge britannique David Hare un documentaire d’animation contemplatif simplement intitulé Le mur.
Gaza isolée. Gaza sous les bombes. Gaza sous la pression de ses propres factions en proie à d’éternelles luttes intestines. Dans Gaza dans la peau, paru chez l’Aube noire, l’auteure Selma Dabbagh trace un portrait intimiste et puissant de cette bande de terre vouée aux gémonies, à la fois lueur d’espoir et épine dans le flanc de la cause palestinienne.
La chute du mur de Berlin symbolise, encore aujourd’hui, l’ouverture du monde. Pourtant, depuis un quart de siècle, le monde se referme. Il existerait près de 40 000 km de frontières murées, par exemple la lumineuse frontière fortifiée qui sépare l’Inde du Pakistan.