L’ampleur des destructions, cette année, fait toutefois craindre un risque de sous-estimation, notait récemment le New York Times: le très grand nombre d’édifices détruits signifie que des centaines, voire des milliers de personnes, pourraient être toujours enterrées sous les décombres.
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En décembre, il avait été conclu que les 2 millions d’habitants de ce territoire faisaient face à une « insécurité alimentaire du niveau d’une crise ou plus ».
Anaïs Elboujdaïni répond aux questions de Hugo Prévost sur l’objectivité en temps de conflit, le journalisme de guerre et sur le fait de se retrouver plongée, au hasard, dans la violence et la mort.
La compagnie qui développe ce jeu vidéo, Bohemia Interactive, basée en République tchèque, a publié une note à ce sujet le 10 octobre — en fait, une mise à jour d’une note qu’elle avait publiée au début de la guerre en Ukraine.
La directrice de CNEWA Canada dit fonder beaucoup d’espoirs « dans la diplomatie canadienne, que notre gouvernement intervienne et nous donne la possibilité d’aider, d’avoir un impact positif et palpable. Parce que nous attendons d’avoir la permission d’aider ».
En combinant les risques de récoltes perdues à la pression exercée par la guerre en Ukraine sur la production de céréales, des experts soutiennent que le coût de la vie pourrait continuer de grimper, alors que la sécurité alimentaire sera de plus en plus ébranlée.
« Où est l’humanité ? Des millions de civils sont punis collectivement au vu et au su du monde entier. Rien ne peut justifier l’utilisation de la faim comme arme de guerre. »
L’avantage de faire soi-même des vérifications élémentaires — vérifier la source, chercher une deuxième source — c’est que cela permet de ralentir la dissémination de désinformation.
Au manque d’électricité et d’eau potable pour 2,3 millions d’habitants s’ajoute à présent le risque de maladies causées par l’utilisation d’eau impropre à la consommation, en premier lieu la dysenterie et le choléra.
Comme le rappelle le journal britannique The Guardian le 11 octobre, la Russie est connue des experts pour avoir utilisé X pour diffuser de la désinformation, et les événements des derniers jours laissent croire « qu’elle semble avoir capitalisé sur le conflit israélo-palestinien ».