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Un président arrive; l’autre part. La transition est généralement sans heurts, peut-être entre des chefs d’État provenant de deux partis, mais cette fois, tout oppose le démocrate Joe Biden, qui entrera en poste le 20 janvier, et le républicain Donald Trump, qui quittera ses fonctions la même journée. Y compris leur taux d’approbation chez les Américains, indique une récente enquête.

Si la première vague de la pandémie de COVID-19 avait notamment poussé les pays riches à entrer dans une course, les uns contre les autres, pour se procurer du matériel de protection médicale, notamment des masques, des gants et tout le nécessaire pour effectuer des tests de dépistage, la deuxième vague menace encore plus d’accentuer la politisation de la crise, une tendance dangereuse contre laquelle met en garde l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Conviés à l’Université Belmont, une institution privée évangélique située à Nashville au Tennessee, Donald Trump et Joe Biden ont croisé le fer dans un deuxième débat nettement moins chaotique que le premier. Les deux candidats ont semblé adopter la même stratégie: protéger les acquis. Un choix qui servira sans doute mieux Biden, qui domine dans les sondages. Compte-rendu du dernier (?) moment fort d’une campagne dont les innombrables rebondissements n’ont, jusqu’ici, presque rien changé.

Bien que le duel entre Joe Biden et Donald Trump aspire tout l’oxygène disponible, il n’y a pas que la présidence qui sera en jeu le 3 novembre. Les électeurs devront aussi pourvoir des milliers d’autres postes électifs, de l’humble contrôleur des finances du comté jusqu’au puissant sénateur en passant par les shérifs, les législateurs locaux et même… les directeurs d’élections. Voici les portraits de quelques-unes des courses les plus importantes.

La stratégie géopolitique de la Chine donne-t-elle réellement les résultats escomptés? Que ce soit en raison des pressions sur ses voisins en mer de Chine, sa volonté de faire taire toute dissension politique à l’intérieur de ses frontières, ou pour sa gestion de la pandémie de COVID-19, les opinions négatives du régime communiste de Pékin ont largement augmenté au sein d’un groupe de 14 pays visé par une récente enquête du Pew Research Center.

«Will you shut up, man?» Excédé par les interruptions incessantes de son adversaire Donald Trump, qui n’en finissait plus de parler par-dessus lui, Joe Biden lui a lancé cette flèche… après moins de 15 minutes d’échanges. Un moment qui ne reflète que trop bien le ton d’un débat à peu près dépourvu de substance, au cours duquel Trump s’est comporté en brute pendant qu’un Biden brouillon se contentait de maintenir un minimum de dignité sans vraiment marquer de points.

La population de la planète a soif de changement, et les dirigeants ont tout intérêt à écouter ces appels et à y réagir, estime l’ONU, dans un appel lancé aux gouvernements du monde entier, alors que la COVID-19 et la crise économique qui en découle perturbent un monde déjà au bord de l’éclatement.

Trois quarts de siècle après la fin de la Deuxième Guerre mondiale, et la création, quelques mois après la reddition du Japon, de l’Organisation des Nations unies, l’idée de la coopération internationale est toujours d’actualité, révèle un grand sondage du Pew Research Center. Cette idée de collaboration entre les pays est même associée à un bilan moins lourd de la pandémie de COVID-19.

C’est le monde à l’envers, diront les critiques du « Big Pharma »: plutôt que de saluer un gouvernement qui leur verse des milliards pour lancer un vaccin contre le coronavirus le plus vite possible, neuf grandes compagnies ont senti le besoin de publier une lettre commune mardi, où elles s’engagent à ne pas mettre de l’avant un vaccin contre la Covid qui n’aurait pas été évalué jusqu’au bout.