En devant se reloger après une catastrophe, les plus riches vont-ils provoquer une « gentrification environnementale »?
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700 000 morts sont imputables aux appareils installés dans les maisons, dont les systèmes de cuisson des aliments.
Plusieurs milliers de scientifiques veulent passer d’une « crise » à une « urgence » climatique.
Ce sont des feux qui brûlent pendant l’été, restent dormants pendant l’hiver et « renaissent » au printemps. On les appelle pour cette raison des « feux zombies ». Et dans l’Arctique, ils seraient plus fréquents, à mesure que les étés là-bas deviennent plus chauds.
La santé de « dizaines de millions de personnes » serait mise à mal par la mauvaise gestion des déchets produits par nos villes et nos usines, notamment lorsque ces rebuts sont brûlés, révèle une récente étude mondiale réalisée par l’Université de Leeds, au Royaume-Uni.
Les gigantesques feux de forêt et de broussailles de 2019 et 2020 en Australie, un événement surnommé « l’été noir », sont un « réveil draconien » démontrant les effets extrêmes des changements climatiques dans ce pays-continent, selon un groupe d’experts qui a publié une nouvelle étude se penchant sur les facteurs ayant provoqué cette catastrophe.
En janvier, les incendies qui ont ravagé 58 000 km2 de forêts en Australie étaient en lice pour devenir l’événement marquant de 2020 — si un virus n’était pas venu monopoliser l’actualité. En envoyant trois fois plus de fumée dans la stratosphère que tout événement comparable de l’histoire récente, ils ont donné un avant-goût des temps à venir. Mais ils n’ont pas été le seul événement météo extrême de 2020.
Conséquence inattendue des changements climatiques, les orages porteurs de foudre pourraient voir leur incidence augmenter. Et qui dit foudre, dit impact sur les feux de forêt.
En Californie, les transformations climatiques ont fait en sorte que l’automne a davantage des allures d’été, avec une météo plus chaude et plus sèche, qui vient accroître les risques de saisons des feux de forêt qui sont plus longues et dangereuses, selon une nouvelle étude effectuée à l’Université Stanford.
Des experts australiens réclament que les institutions d’enseignement supérieur se préparent à « l’effet domino » des changements climatiques sur les travaux de recherche.