Malgré la résurgence de certains mouvements nationalistes, y compris la montée en puissance de l’extrême droite en France et aux États-Unis, notamment, la majorité de la population occidentale a peu à peu élargi sa vision de l’identité nationale. Selon un récent coup de sonde du Pew Research Center, cette vision est partagée autant aux États-Unis qu’en France, en Allemagne ou au Royaume-Uni. La connaissance de la langue officielle demeure toutefois un facteur très important pour l’acceptation des nouveaux arrivants dans ces pays.
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Célébrant la diversité culturelle à travers une série de courts récits, la bande dessinée Immigréalité de Nick Micho vise à sensibiliser les lecteurs d’ici sur les différents défis que rencontrent les personnes immigrant au Québec.
Elles arrivent par milliers: des familles de migrants originaires d’Amérique centrale, parfois même des enfants seuls. Leur but? Arriver aux États-Unis pour y trouver asile. Cette vague migratoire donne bien des maux de tête à l’administration Biden, toujours empêtrée dans la politique migratoire de l’ex-président Donald Trump, et qui peine à loger tous ces nouveaux arrivants dans des centres temporaires. Selon des chercheurs de l’Université Duke, cette fuite de migrants vers la frontière américaine s’explique par deux principaux facteurs: la violence qui sévit dans leur pays d’origine, ainsi que les impacts des changements climatiques.
On parle souvent du « melting pot » des cultures qui a contribué à faire des États-Unis le pays qu’il est devenu, mais la vie des immigrants ayant tout laissé derrière eux pour avoir leur part du rêve américain a souvent été injuste, comme l’illustre Bootblack, un diptyque du bédéiste Mikaël.
Quoi qu’en pense le président américain Donald Trump, qui clame avoir redonné sa « grandeur » à l’Amérique, les autres pays du monde ont une bien piètre image du chef d’État. Le pays de l’Oncle Sam, toutefois, profite d’un peu plus de clémence, selon un récent coup de sonde effectué pour le compte du Pew Research Center.
Plus d’un quart de milliard de personnes ont quitté leur pays natal et vivent actuellement dans leur nouveau pays d’accueil, a révélé mercredi l’ONU, qui en profite pour dresser un nouveau portrait du phénomène migratoire.
Confrontée à une vague d’immigration régulière – et surtout irrégulière – depuis plusieurs années, un phénomène qui a pris de l’ampleur avec l’éclatement de la guerre civile en Syrie, l’Europe compterait aujourd’hui entre 4 et 5 millions d’immigrants y vivant sans papiers. L’équivalent de la population d’un petit pays du Vieux Continent, mais aussi une goutte d’eau dans l’océan démographique européen.
L’immigration fait régulièrement la Une de l’actualité, au Québec et ailleurs. Les opinions divergent, la méfiance s’exprime et les jugements se multiplient quant à la capacité des immigrants à s’intégrer, à participer au marché du travail et même quant à leur nombre. Mais qu’en est-il réellement? Le Détecteur de rumeurs déboulonne certains mythes.
Peut-on pervertir l’écologie à des fins racistes ? Certains essaient. Car voilà qu’au milieu des « manifestes » de tueurs de l’extrême droite, apparaît un nouveau blâme à mettre sur le dos des immigrants: la destruction de l’environnement.
Passer du système métrique au système impérial peut s’avérer un casse-tête, mais les statistiques sur la population américaine posent un problème éthique d’emblée. Les catégories raciales et ethniques circonscrites lors du recensement de 2020, pour la 24e fois de l’histoire des États-Unis, isolent cette démographie, rapporte le Monde diplomatique de juillet.