Loin de s’essouffler, la quatrième saison de la désopilante série mettant en vedette Julia Louis-Dreyfus continue de dominer le monde des comédies politiques, comme les fans pourront le constater avec la sortie cette semaine de Veep: The Complete Fourth Season.
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Trois personnages unis par le hasard. Avec Les mauvaises herbes (2016), le cinéaste Louis Bélanger nous présente moins un film sur le cannabis qu’une rencontre fortuite.
Quand rien ne fonctionne, on ne sait jamais vraiment qui blâmer. Et si Whiskey Tango Foxtrot porte d’une certaine façon bien son nom (il s’agit ici d’initiales qui nous ramènent à What The Fuck), contrairement à ses propres croyances, il est certainement vraiment moins divertissant qu’il ne pense le prétendre, sinon pas du tout, laissant son spectateur reposer dans un bain de fusillades, d’explosions, de vulgarités et, surtout, d’ennui.
S’il se la joue feel-good movie et biopic sportif dans les règles de l’art, un peu trop même par moment, Eddie the Eagle est un crowd-pleaser fortement fonctionnel qui s’assure de réchauffer les cœurs et de faire grossir le sourire au visage de ses spectateurs en se permettant de modifier ne serait qu’un tantinet les morales qu’on aime habituellement apposer aux histoires de ce genre.
Peut-on rire de tout? Cette question, qui revient souvent sur les tribunes publiques, a trouvé écho, cette fois-ci, dans une petite salle bondée de scientifiques, réunis à Washington, à l’occasion du plus récent congrès de l’Association américaine pour l’avancement des sciences. À l’avant, trois panélistes invités — une chercheuse et deux humoristes versés dans la science — ont répondu à cette question par l’affirmative: il est tout à fait possible de rire de sujets sérieux liés à la science, à condition d’utiliser quelques détours…
Attendue avec impatience durant la décennie et demie qui a su faire grandir son culte, il est impossible de ne pas cacher sa déception face au produit qui nous est ici livré, alors que la suite de Zoolander nous montre une farandole d’opportunités manquées.
Cinq jeunes femmes nous convient à traverser des moments de vie de leur histoire d’amitié dans cette pièce délicieusement girly présentée au Théâtre de la Petite Licorne.
On dit du film que c’est Robert De Niro comme on ne l’a jamais vu. C’est peut-être vrai d’une certaine manière, mais ça ne veut pas nécessairement dire que c’est ce qu’on voulait voir.
Amusante comédie française qui dérape quand elle se prend trop au sérieux, le long-métrage Maestro fait comme bien des films s’amusent à le faire: il parle de cinéma.
Il n’y a rien comme Série noire. Bien sûr, la série se nourrit de références et d’une culture riche qui la rend plus forte, mais que ce soit au Québec ou la télévision en général, c’est une audace qui a son propre souffle et, simplement parce qu’on a voulu pousser le tout encore plus loin dans sa deuxième saison, cela devrait être une raison amplement suffisante pour ne manquer sous aucun prétexte la suite de ces indescriptibles aventures.