Les premiers humains à avoir atteint la Nouvelle-Guinée et le continent américain l’ont fait des milliers d’années plus tôt que ce que révèlent jusqu’ici les plus anciennes traces archéologiques.
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Sachant que les lignées conduisant aux chimpanzés et aux humains d’aujourd’hui se sont séparées pour de bon il y a près de 7 millions d’années, on parle donc d’une évolution de la canine qui se serait produite assez vite.
Nos ancêtres se sont montrés plus aventureux qu’imaginé auparavant.
Il y a encore loin de la coupe aux lèvres en ce qui concerne une IA suffisamment bien adaptée pour susciter la confiance des humains qui l’utilisent.
Se pourrait-il que la dernière trace d’animaux disparus du continent américain il y a 10 000 ans soit sous la forme de peintures sur des falaises, produites par les humains de l’époque?
On a souvent fait état de rencontres entre nos ancêtres Homo sapiens et nos cousins Néandertaliens, qui ont laissé des traces de ces derniers parmi nos gènes. Remontant encore plus loin dans le temps, des chercheurs viennent d’identifier un chromosome d’Homo sapiens qui a pris la place de son homologue néandertalien il y a plus de 100 000 ans, peut-être même plus de 300 000 ans.
Pour estimer l’âge d’un chien en « années humaines », il existe un vieil adage qui dit qu’il faut multiplier par sept l’âge réel du chien. Est-ce que ça tient la route, s’est demandé le Détecteur de rumeurs?
Les scientifiques qui ont récemment confirmé que des humains ont mis le pied en Amérique au moins 1000 ans plus tôt qu’on ne le pensait, y sont arrivés par une méthode plus rare que les ossements: leurs excréments.
Grâce à sa capacité à modifier l’ADN, la technologie CRISPR suscite beaucoup d’espoirs pour le traitement des maladies génétiques. Toutefois, il reste du chemin à faire: des études révèlent que ça pourrait faire disparaître des portions du génome, voire des chromosomes entiers, chez les embryons humains.
Les archéologues ont des alliés à quatre pattes: des recherches récentes mettent en lumière le pouvoir du nez canin pour assister ces scientifiques à la recherche de vieilles sépultures, raconte The New YorkTimes.