La possibilité d’une mutation facilitant la contamination des humains renforce la nécessité, en 2025, d’un dépistage systématique dans les élevages bovins, une chose qui, en 2024, est demeurée théorique.
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La recherche s’est plutôt penchée, au cours des dernières décennies, sur les souris. Mais les cerveaux des chats montreraient des signes d’atrophie et de déclin cognitif qui ressemblent davantage à ce qu’on observe chez les humains.
En date du 1er octobre, le nombre d’élevages qui ont rapporté des éclosions de cette maladie, depuis le printemps dernier, s’élève à 243 dans 14 États (le Missouri n’est pas officiellement sur la liste). On compte une quarantaine de ces élevages en Californie et 29 au Michigan. Aucun cas n’a été rapporté du côté canadien.
« Ce qui rend CICERO si bon à Diplomacy, c’est que l’IA a enregistré un grand nombre de parties, et sait donc comment jouer. L’ordinateur peine à être vraiment convainquant ou vraiment retors, et ne réagit pas vraiment à ce que disent les autres joueurs. »
Les vêtements sont devenus des objets décoratifs parce que les méthodes traditionnelles de décoration corporelle, comme les peintures ou des scarifications délibérées, n’étaient pas possibles durant la fin du plus récent âge glaciaire, dans les parties les plus froides de l’Eurasie, alors que les humains devaient constamment porter des vêtements pour espérer survivre.
Les humains ont beau ne pas être les plus rapides du monde animal, ils sont construits pour durer. D’une part, ils ont dans leurs muscles locomoteurs des fibres qui contribuent à la résistance à la fatigue; d’autre part, ils ont la capacité de dissiper l’excès de chaleur par leur sueur.
Il s’agirait de la première observation d’un traitement actif d’une blessure à l’aide d’ingrédients médicinaux chez nos proches cousins.
Il ne semble donc plus faire de doute que le virus H5N1, ou grippe aviaire, peut se répandre parmi les bovins (bien qu’on s’interroge encore sur le mécanisme de transmission).
Ça ne devrait pas être une surprise, considérant à quel point les humains, avec leur croissance démographique des deux derniers siècles, ont considérablement augmenté leurs contacts avec toutes sortes d’espèces animales.
Les données portent à croire que les humains n’auraient pas nécessairement pas besoin de machines qui leur ressemble pour leur faire confiance et travailler avec elles. Il semble plutôt être plus aisé de collaborer avec des robots qui n’ont pas ce côté « humain ».