Cet appui varie largement en fonction des pays d’origine des répondants: en Pologne, par exemple, qui s’est longtemps trouvée sous le joug de l’URSS, l’OTAN obtient la faveur de 91% des participants.
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Dans la foulée de la reprise de la guerre à Gaza, mais aussi dans le contexte de vives tensions internes, notamment en raison d’une réforme de la Justice menée tambour battant par le gouvernement Nétanyahou, qui lui donnerait la capacité de rejeter des jugements de la Cour suprême, 50% des Israéliens sondés se disent pessimistes quant au fonctionnement de leur système politique, contre seulement 35% d’optimistes.
La question de la sécurité des habitants se pose, mais aussi celle des priorités: considérant le nombre énorme de terrains à déminer, les premiers ciblés sont ceux suffisamment loin du front pour être réutilisables à des fins agricoles.
« Nous vivons actuellement l’une des périodes les plus dangereuses de l’histoire de l’humanité. »
De plus, un peu moins de la moitié des participants croient qu’Israël « atteindra certainement » ses objectifs dans la bande de Gaza, soit « la destruction du Hamas » et le « retour des otages » enlevés le 7 octobre.
La période de conflit active, c’est-à-dire les 120 premiers jours de la guerre, sans tenir compte de la période de construction d’infrastructures, a entraîné l’émission de 420 000 à 652 000 tonnes de CO2. Si l’on tient compte de la construction avant et après la guerre, le total augmente de façon importante, pour atteindre une fourchette allant de 47 millions à 61 millions de tonnes de GES.
Bien que le nombre total de décès découlant de la violence organisée, à l’échelle mondiale, a diminué de moitié comparativement à 2022, passant de 310 000 à 154 000, 2023 a malgré tout été l’une des années les plus meurtrières depuis le début de la récolte de données.
Bijou de style et d’inventivité, Godzilla Minus One est la preuve qu’il est possible de faire un grand, voire un très grand film, sans engloutir une fortune dans le procédé. Il suffit d’avoir de bonnes idées et de savoir les transposer sur grand écran.
Plutôt qu’être médiocre, ou même être tellement horrible qu’il en devient bon, Atlas est seulement (très) mauvais. Un film qui sera vu des centaines de milliers, voire des millions de fois, seulement parce que Netflix le recommande en lançant le service. Quand seule la force du nombre, le poids technologique d’un géant, peut justifier un tel gâchis, il y a de quoi véritablement souhaiter l’apocalypse robotique…
L’équipe a aussi constaté que la majorité de la désinformation en lien avec les relations taïwano-américaines circulait principalement au sein de groupes politiques alignés sur la Chine, ainsi que des groupes conspirationnistes basés aux États-Unis.