Le 9 janvier, les Islandais ont appris que la nouvelle coalition sera formée par les conservateurs du Parti de l’indépendance, le nouveau parti libéral Viðreisn et le parti de centre représentant les employés de l’État, Bright Future. La corruption pèse toujours sur l’Islande.
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Le 10 janvier dernier, Justin Trudeau annonçait la nomination de Chrystia Freeland en tant que nouvelle ministre des Affaires étrangères du Canada pour assurer la succession de Stéphane Dion qui se voit dans l’obligation de quitter la vie politique.
De nombreux syndiqués du milieu de l’éducation montent aux barricades pour exiger que le ministre Sébastien Proulx recule dans le dossier du cours d’éducation financière, et revienne sur son engagement à « imposer » ce nouveau cours dès la rentrée scolaire 2017.
Le Santa Claus américain, le Père Noël québécois et le Saint-Nicolas européen vont devoir se tasser dans leur traîneau pour faire une place à Yule Lad, leur homologue islandais. Sur l’île nordique, on célèbre une autre version de la fête de Noël.
L’Islande n’a toujours pas de gouvernement. Troisième parti en importance d’après le vote du 29 octobre, le Parti pirate a reçu le mandat le 2 décembre de la part du président Guðni Th. Jóhannesson de former la coalition à cinq partis.
Les groupes environnementaux américains se préparent au pire. Ont-ils raison de s’inquiéter? D’un côté, Trump leur a donné toutes les raisons d’avoir peur de lui. De l’autre, il n’est pas encore président que le rétropédalage semble avoir commencé.
À la suite de l’incapacité du Parti de l’indépendance de former une coalition à trois partis, le président de l’Islande, Guðni Th. Jóhannesson a mandaté le 16 novembre la chef du Parti vert-gauche, Katrín Jakobsdóttir de former le prochain gouvernement.
Même si la coalition qui gouvernera l’Islande n’a pas encore été formée, la plupart des grands médias ont annoncé la victoire du Parti de l’indépendance aux élections du 29 octobre. Le rédacteur en chef du webzine Reykjavik Grapevine, Paul Fontaine, critique la mésadaptation de la presse étrangère au contexte atypique islandais.
À la suite des élections de samedi dernier en Islande, nous avons eu droit à diverses interprétations des résultats. Avant de trancher afin de déterminer un gagnant, le webzine Reykjavik Grapevine pose la question : quel genre de coalition allons-nous avoir ?
La plupart des consommateurs savent qu’une compagnie de gomme ou de shampoing qui donne des échantillons dans les lieux publics ne le fait pas par générosité. Avant, on disait que la moitié de l’argent dépensé en publicité était gaspillé, le problème c’était qu’on ne savait pas quelle moitié, note Jacob Weisberg dans une critique de deux ouvrages dans le New York Review of Books à paraître le 27 octobre. Aujourd’hui, poursuit-il, on dit plutôt que si vous ne payez pas, vous êtes le produit.