Une équipe de chercheurs de Boston a créé une banque de cellules de centenaires, à partir de laquelle elle génère des cellules souches qui peuvent dès lors être partagées avec d’autres équipes à travers le monde
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C’est par une analyse d’ADN qu’on peut en théorie mettre une date. Et plus précisément une analyse d’ADN ciblant, dans différentes parties de l’arbre, les mutations somatiques, c’est-à-dire celles qui se produisent après la conception.
« Trouver autant de virus d’un coup est incroyable, et cela n’est qu’une petite partie de l’ensemble. Il y en a des millions d’autres qui attendent d’être découverts, et nous pouvons utiliser la même approche pour identifier des bactéries et des parasites. »
Cette grotte, pour tous ceux qui s’interrogent sur le sort des Néandertaliens, possède une valeur unique: c’est le seul endroit connu où des Néandertaliens sont partis, puis revenus.
Ce dont il est question, ce sont des « amas » ou des « grappes » de cellules faisant moins d’un millimètre de diamètre qui ressemblent superficiellement à des embryons mais n’en sont pas. Depuis deux décennies que plusieurs laboratoires en biologie cellulaire font ce genre d’expérience, ces imitations d’embryons ne sont pas viables.
« Des environnements familial et scolaire positifs ont un impact à long terme important sur les résultats d’un enfant et ses perspectives d’avenir, et la composition génétique d’un individu ne devrait jamais être utilisée pour classer quelqu’un comme étant destiné à échouer. »
Cela rappelle à quel point les glaciers contiennent probablement des quantités d’informations sur le passé de notre planète. Mais encore faudrait-il les recueillir avant qu’ils n’aient complètement fondu…
Les biologistes n’ont pas d’explications quant à l’utilité de génomes aussi ambitieux. En théorie, un plus gros génome signifie une plus grosse dépense d’énergie pour l’être vivant, puisqu’il lui faut continuellement « accéder » aux parties du génome qui produisent les protéines nécessaires à son bon fonctionnement.
Cet ancêtre faisait vraisemblablement partie d’un écosystème peuplé d’autres bactéries primitives, aujourd’hui disparues. Il disposait également d’un système primitif pour se défendre contre les virus, eux aussi déjà présents.
Une première tentative d’élevage du cheval avait eu lieu il y a 5500 ans, plus à l’est, dans les steppes de ce qui est aujourd’hui le Kazakhstan, et elle s’est vraisemblablement soldée par un échec, puisque cette lignée, révèlent les génomes de cette période, n’a pas laissé de descendance.