Il n’a fallu que quelques minutes de jeu pour comprendre l’intérêt porté à Chivalry II: oh, il y a bien sûr eu les deux périodes de test, mais le lancement officiel du jeu du jeu Torn Banner représentait évidemment l’évaluation ultime, l’obstacle final à franchir pour convaincre les joueurs (et la presse spécialisée), et à risque de se retrouver rapidement engoncé dans une camisole de force, il est particulièrement jouissif de décapiter ses ennemis sur le champ de bataille. Encore. Et encore. Et encore.
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Nous sommes en 2005, et la révolution se déroule dans des corridors d’entrepôt et dans les bureaux déserts d’une entreprise occupée à de sombres desseins mêlant manipulation génétique, télépathie et soldats clonés. Le nom de cette révolution? F.E.A.R., ou la preuve que l’on peut produire un excellent jeu tout en ayant un jeu de mots plus qu’ordinaire dans son titre.
Grab your flak cannon and shoot away: in 1999, arena shooters were all the rage. Along with Quake III Arena, Unreal Tournament was the game to play for hours, be it against bots or, preferably, against other human players.
L’attrait de la Deuxième Guerre mondiale est indéniable. Cela étant dit, cela s’explique-t-il par le fait qu’il s’agit de la dernière grande confrontation entre les « bons », soit les Alliés relativement démocratiques, et les « mauvais », les puissances de l’Axe? Ou est-ce plutôt parce que l’éloignement du conflit en gomme les nuances idéologiques, sociales, économiques et politiques? Quoi qu’il en soit, en misant de nouveau sur la guerre de 1939-1945, Electronic Arts et DICE ont remporté leur pari avec Battlefield V.
Il se trame quelque chose, dans les sombres profondeurs de ce complexe souterrain. Ici et là, on peut entendre des gémissements, mais surtout des grognements, comme un avertissement: n’entrez pas ici. Il vous faudra bien y entrer, en compagnie de trois autres mercenaires explorateurs, pour y accomplir de périlleuses missions, généralement au péril de votre existence. Ainsi va la vie. Ainsi va GTFO.
Are you ready? Ready to rip, to tear, to kill dozens of monsters, to hear the sweet sound of that super shotgun firing two shells right into an imp’s face, transforming its head into a geyser of blood and gore? Welcome to Doom, probably the most influencial first-person shooter of all time.
La série Half-Life en est une de retard. Retard temporel entre le moment de la sortie des différents jeux et celui où il fut possible de s’y aventurer, mais aussi retard technologique, alors que les aventures du docteur en physique théorique Gordon Freeman exigeaient toujours des capacités techniques qui n’étaient atteignables que quelques années plus tard, après l’achat d’un nouvel ordinateur. Quinze ans après sa sortie, Half-Life 2 demeure une référence incontestée en matière d’action, mais aussi de contemplation et de mélancolie.
Titre aujourd’hui largement oublié, surtout après la sortie de la « véritable » suite du film Tron, Tron: Legacy, Tron 2.0 demeure pourtant, bientôt 16 ans après sa sortie, un très bon jeu d’action qui a peu ou pas vieilli.
Ah, Doom! La célébration, en décembre dernier, des 25 ans du titre original de la série fut l’occasion, pour ce journaliste, de revisiter la plus récente déclinaison du jeu éponyme, publiée en 2016 par Bethesda Softworks et développée, bien entendu, par id Software.
Les développeurs du studio New World Interactive sont toujours aussi actifs, dévoilant cette semaine une troisième mouture de leur série Insurgency. Après le titre éponyme, sorti en 2016, puis Day of Infamy, une modification à thématique de Deuxième Guerre mondiale lancée l’année suivante, voilà donc Sandstorm. Et toute référence à Darude est interdite.