Doux-amer, proposition dont le plaisir croit avec l’usage – en quelque sorte –, superbement tourné, Preparations for a Miracle méritait pleinement d’ouvrir l’actuelle édition des RIDM. Un documentaire engagé, certes, mais aussi capable de prendre un pas de recul. Une oeuvre plus que nécessaire, y compris pour son approche très « science-fictionnesque ».
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Langue étrangère demeure néanmoins un film satisfaisant, le talent réuni devant et derrière la caméra étant trop riche pour bouder son plaisir. On regrette toutefois qu’il semble manquer de finition au produit, peut-être de par sa nature plus personnelle. On continuera toutefois de suivre avec attention la carrière de cette cinéaste qui a beaucoup de projets dans sa mire.
Bien qu’ils proviennent d’époques différentes et soient signés par des réalisateurs qui sont tous devenus des icones d’Hollywood, il s’agit de classiques célébrant un anniversaire cette année, et qui sont disponibles pour la première fois en 4K.
On perçoit continuellement tout le potentiel et les nombreux charmes dont le film aurait pu bénéficier. À la place, Los amantes astronautas préfère tourner autour de tout ce qui nous intéresse le moins, même lorsque nous parvenons enfin à la finale tant attendue, qui sera malheureusement réglée en un tournemain, de façon beaucoup trop aisée.
Hugo et Kevin font un tour par les Rencontres internationales du documentaire de Montréal pour deux oeuvres explorant autant de facettes de ce genre cinématographique.
Tour à tour hilarant, en plus d’être sincèrement touchant lorsque nécessaire, Les barbares est un film grand public risqué, mais qui tire admirablement bien son épingle du jeu. Fait avec soin, mais surtout avec coeur, on en ressort revigorés, amusés et avec une envie de s’ouvrir plus que jamais à l’autre.
Trente ans après sa sortie, ce film réalisé et coscénarisé par Patrice Chérault crève toujours l’écran. Chloé Baril et Hugo Prévost discutent de ce chef-d’oeuvre indémodable.
Même s’il est amusant et qu’il honore le film original comme il se doit, Beetlejuice Beetlejuice mise un peu trop sur la nostalgie, et au final, on ne peut que conclure que, malgré quelques bons moments, cette suite n’était ni vraiment nécessaire, ni indispensable.
Cette montagne russe d’émotions et de flamboyance a cette qualité rare de bien nous divertir et de s’avoir comment s’y prendre, d’impressionner et, principalement durant les derniers instants de l’inévitable et bouleversante Defying Gravity, nous faire frissonner.
Maria est un film qui célèbre, qui enchante, lumineux au possible, continuellement soigné, visuellement riche et magnifique, musicalement ensorcelant, comme l’offre, sous forme d’un cadeau, d’une voix qu’on n’est pas prêt d’oublier.