Babygirl est ainsi palpitant. Une oeuvre forte qui provoque, mais pour mieux repenser comment on perçoit les gens et ce qui est acceptable, ou inacceptable. Hantant de bout en bout, on en ressort aussi excité que la tête remplie d’idées.
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Que les acteurs parviennent néanmoins à garder un certain sérieux dans toute cette entreprise relève de l’exploit, les postures « animales » de notre personnage principal ayant de quoi faire rire aux éclats. Comme quoi, au moins pour les spectateurs, il reste de ce Kraven the Hunter quelque chose de marrant, entre plusieurs scènes d’action tout de même bien huilées.
Pour les inconditionnels, A Complete Unknown demeure un produit de grande qualité, à défaut de nous en apprendre beaucoup ou de réellement fasciner.
The End demeure une oeuvre assez unique en son genre qui saura ravir ceux qui voudront s’abandonner à un exercice aussi soigné et singulier.
Lorsque défilera son générique, Queer sera désormais parfaitement en fusion avec nous, prêt à ne plus nous quitter et à partager ses mystères, mais certainement pas ses clés ou ses réponses, avec nous. Et, bien que bouleversés, comme on commence à en avoir l’habitude, on lui en sera à nouveau immensément reconnaissant.
Via ces deux exercices mêlant adroitement expériences personnelles et maîtrise de son médium, il fait bon de voir des grands cinéastes ne pas avoir peur de se mouiller et de continuer d’avoir envie d’explorer, d’aller ailleurs (mais pas tant que ça, finalement) et de ne jurer, au bout du compte, que par une chose: le pouvoir infini du cinéma.
31 ans après sa sortie, il est toujours d’actualité de parler de cette histoire de joie, d’horreur, de mélancolie et de… cadeaux terrifiants.
On restera néanmoins avec une proposition sympathique à ses heures, et fort heureusement assez courte avec ses 93 minutes, même si on ne semble jamais vraiment se détacher de l’impression d’écouter la version allongée d’un court-métrage qui n’exploite jamais tout son potentiel.
Edwart Berger lève le voile sur les manigances, les manipulations et les luttes de pouvoir se déroulant entre les murs du Vatican, lorsque vient le temps de remplacer le pape.
Sebastian demeure une belle proposition où plusieurs promesses sont tenues, mais où quelques autres mériteront un plus grand travail, dans le futur. Une chose demeure certaine, on sera décidément au rendez-vous pour les autres films du cinéaste, tout comme les nouveaux projets de son acteur principal.